le certificat de sa demande d'un brevet de perfectionnement de cinq ans, pour un moyen de carboniser le bois par distillation. 15°.Lesieur Gérin (Jean-Angélique), demeurant à Nimes, département du Gard, auquel il a été délivré, le 10 août 1810, le certificat de sa demande d'un brevet de perfectionnement de cinq ans, pour une pompe à deux pistons dans le même corps. 16°. Le sieur Lefevre, demeurant à Paris, rue des Gravilliers, n°. 54, auquel il a été délivré, le 26 septembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour une nouvelle roue au moyen de laquelle on utilise plus avantageusement les chutes et cours d'eau. 17°. Le sieur Jean Aubertot, maître de forges, demeurant à Vierzon, département du Cher, auquel il a été délivré, le 29 septembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de quinze ans, pour une nouvelle construction de fours à réverbère 'propres à cémenter l'acier. 18°. Les sieurs Lhomond et Kurtz, domiciliés à Paris, rue du Ménilmontant, auxquels il a été délivré, le 29 septembre 1810, le certificat de leur demande d'un brevet d'invention de quinze ans, pour un appareil propre à extraire l'acide pyroligneux et le goudron de toutes les substances végétales. 19°. Le sieur Jean-François Lixon, brasseur, demeurant à Liège, rue Chaussée-des-Prés, auquel il a été délivré, le 29 septembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de dix ans, pour une machine à vapeur propre à faire mouvoir non-seulement un laminoir, une fenderie, un martinet, mais encore une mécanique pour fabriquer différentes qualités de clous. 20°. Le sieur Lavigne, demeurant ordinairement à Montpellier, et présentement à Paris, rue Saint-Honoré, no. 73, auquel il a été délivré, le 29 septembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour un aréomètre. 21°. Le sieur Léarenverth, demeurant à Paris, rue de la Place-Vendôme, n°. 1o, auquel il a été délivré, le 31 octobre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'impor tation de cinq ans, pour une machine à découper la tôle, ou fer battu, pour fabrication de clous. 22°. Le sieur Clément,demeurant à Paris, rue de Touraine, n°. 6, au Marais, auquel il a été délivré, le 4 novembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de quinze ans, pour un nouveau procédé de fabriquer l'acide sulfurique. 23°. Le sieur Pelletan fils, demeurant à Paris, rue SaintChristophe, no. 10, auquel il a été délivré, le 12 novembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de dix ans, pour un procédé propre à fabriquer l'acide sulfurique. 24°. Le sieur Jean-Baptiste Dussordet, cordier, demeurant à Dreux, département d'Eure-et-Loir, auquel il a été délivré, le 17 novembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour des machines propres à câbler et à retordre. 25°. Le sieur Coutan, demeurant à Paris, rue des FossésSaint-Germain-l'Auxerrois, n°. 31, auquel il a été délivré, le 31 décembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour divers moyens mécaniques, propres à transmettre le mouvement aux scies à débiter la pierre et le marbre. Ont été définitivement brevetés, pendant le premier trimestre de 1811, les particuliers ci-après dénommés: 1o. Le sieur James White, demeurant à Paris, rue et île Saint-Louis, hôtel de Bretonvilliers, auquel il a été délivré, le 4 mars 1811, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de quinze ans, pour des machines destinées à fabriquer des clous d'épingles et des clous forgés. 2o. Le sieur James White, même domicile, auquel il a été délivré, le 21 mars 1811, l'attestation de sa demande d'un certificat d'additions et de perfectionnement à son brevet du 4 mars 1811. 3°. Le sieur Pierre Estève, domicilié à Flessingue, département des Bouches-de-l'Escaut, auquel il a été délivré, le 25 mars 1811, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour un moyen de fabriquer le bleu connu sous le nom de bleu anglais. 4°. Le sieur François Chevremont, demeurant en la commune de Tilleur, département de l'Ourte, auquel il a été délivré, le 30 mars 1811, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour deux procédés au Volume 30. Ff moyen desquels il parvient à obtenir du carbonate de plomb. ou blanc de plomb. 5°. Le sieur Jean-François Lixon, brasseur, demeurant à Liège, rue Chaussée-des-Prés, no. 1394, auquel il a été délivré, le 20 mars 1811, l'attestation de sa demande d'un certificat d'additions à sa machine à vapeur, pour laquelle il lui a été accordé un brevet d'invention le 3p octobre 1810. FIN DU TRENTIÈME VOLUME. TABLE DES ARTICLES CONTENUS dans les six Cahiers du Journal RAPPORT fait à la Classe des Sciences mathématiques et physiques de l'Institut, par M: Berthollet, sur un Ou- vrage de MM. Gay-Lussac et Thenard, ayant pour titre: Recherches Physico-Chimiques, faites à l'occa- sion de la grande Batterie voltaïque donnée par S. M. I. et R. à l'Ecole Polytechnique. SUR les Exploitations des mines de fer du département de Sambre-et-Meuse, sur les Produits de ces mines, et sur les Usines métallurgiques du même département; DÉCRETS impériaux, et principaux actes émanés du Gouvernement, sur les Mines, Minières, Usines, Salines et Carrières, pendant le mois de juillet de l'année 1811. Page 79 No. 176, AoUT 1811. STATISTIQUE minéralogique du département des Apennins ; par M. L. Cordier, Inspecteur-divisionnaire au Corps impérial des Mines, Correspondant de l'Institut.-No §. II. Fours à briques, Fours à chaux et Fours à plâtre du département. §. III. Carrières d'ardoise de Lavagne. 117 118 128 134 §. IV. Carrières de marbre du département. . §. V. Carrières de pierres à bâtir du département. Analyse chimique de la Sodalite, minéral du Groenland, nouvellement découvert; par M. Thomas Thompson, Membre de la Société royale d'Edimbourg, de l'AcaHémie impériale Chirurgico - Médicale de Pétersbourg. Extrait des Transactions de la Société royale d'Edimbourg, et traduit par M. Tonnellier. I. Description de la Sodalite. II. Analyse chimique de ce minéral. 135 139 141 |