 | Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1884 - 376 pages
...les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses... | |
 | Emile Deschanel - 1891 - 374 pages
...les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses... | |
 | E. A. E. M. Deschanel - 1891 - 378 pages
...les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses... | |
 | Napoléon Maurice Bernardin - 1891 - 424 pages
...de Floridon qu'el le tenait encore ouvertes ! Fais autant de serments, pour justifier mon ennemie2, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'ainifiis. Perfide et trompeur ! Pouvais-je m'imaginer que sous ces attraits si innocents tu cachasses... | |
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Eh bien ! parjure et déloyal, jure maintenant que tu n'aimes que moi, lui dit-elle en lui montrant les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire... 