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... . DAIGLEMONT , oncle . DAIGLEMONT , son neveu . FOLLEVILLE . JULIE , fille de M. Daiglemont . L'HOTESSE . DESCHAMPS . JOURDAIN . MICHEL . UN VALET . La scène est à Paris . PRÉFACE . Voici le plus heureux , et probablement aussi.
... . DAIGLEMONT , oncle . DAIGLEMONT , son neveu . FOLLEVILLE . JULIE , fille de M. Daiglemont . L'HOTESSE . DESCHAMPS . JOURDAIN . MICHEL . UN VALET . La scène est à Paris . PRÉFACE . Voici le plus heureux , et probablement aussi.
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... Folleville , et le joua à merveille . Il me donna aussi quelques bons avis sur la pièce . A la fin du second acte , après la reconnaissance entre le jeune Daiglemont et Julie , la scène continuait entre eux . Le jeune homme faisait à sa ...
... Folleville , et le joua à merveille . Il me donna aussi quelques bons avis sur la pièce . A la fin du second acte , après la reconnaissance entre le jeune Daiglemont et Julie , la scène continuait entre eux . Le jeune homme faisait à sa ...
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... vérité , mais il n'est pas avili , il n'est pas rendu ridicule ; il prend lui - même assez bien sa revanche , quand il a une fois découvert le stratagème ; et les réprimandes qu'il fait à sa fille et à Folleville sont d'un ton noble , - 38.
... vérité , mais il n'est pas avili , il n'est pas rendu ridicule ; il prend lui - même assez bien sa revanche , quand il a une fois découvert le stratagème ; et les réprimandes qu'il fait à sa fille et à Folleville sont d'un ton noble , - 38.
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François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux. sa fille et à Folleville sont d'un ton noble , élevé , ten- dre , qui range tout à fait le spectateur de son côté : aussi ne manquent - elles jamais d'être applaudies . Le titre même de la ...
François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux. sa fille et à Folleville sont d'un ton noble , élevé , ten- dre , qui range tout à fait le spectateur de son côté : aussi ne manquent - elles jamais d'être applaudies . Le titre même de la ...
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... FOLLEVILLE . FOLLEVILLE . Il le faut avouer , depuis huit jours entiers Nous vivons sagement , grâce à nos créanciers . Nous ne sortons jamais ; une raison très - forte T'empêche de passer le seuil de cette porte : Dans mon hôtel garni ...
... FOLLEVILLE . FOLLEVILLE . Il le faut avouer , depuis huit jours entiers Nous vivons sagement , grâce à nos créanciers . Nous ne sortons jamais ; une raison très - forte T'empêche de passer le seuil de cette porte : Dans mon hôtel garni ...
Expressions et termes fréquents
acte Agamemnon Ajax amis anciens Andrieux Andromaque ARCHIMEDE Aristote assez Athéniens auteurs beau Boileau Brumoy Budée c'était chagrin chants CHAPELLE charme cher chœur chose cœur comédie commencé Corneille d'Eschyle d'Euripide DAIGLEMONT décorations dénoûment DESCHAMPS DESPRÉAUX Dieu dire discours donner dramatique enfants Eschyle êtes Euripide Fénelon fille FOLLEVILLE FONTAINE FORÊT François Ier génie goût Hécube heureux hommes Iphigénie en Tauride ISABELLE j'ai j'en jamais jeune jour JOURDAIN JULIE Jupiter l'action l'art L'HÔTESSE l'unité de lieu langue latin lettres LULLI maître Messieurs MICHEL mieux MIGNARD MOLIÈRE Monsieur mort OEdipe Oreste ouvrages parler passe peine pense père personnages Philoctète philosophe pièce plaisir poëme poésie poëtes poëtes grecs poëtes tragiques premier Prométhée enchaîné quelquefois Racine raison règle rien sais savants scène semble sentiments serait seul siècle Sophocle sort souvent spectateurs sujet talent teur théâtre Thespis tion tragédie grecque tragiques grecs trouve vais veux voilà Voltaire vrai
Fréquemment cités
Page 350 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 289 - Quel désordre ! quelle irrégularité ! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre : les auteurs aussi ignorants que les spectateurs ; la plupart des sujets extravagants et dénués de vraisemblance ; point de mœurs, point de caractères ; la diction encore plus vicieuse que l'action, et dont les pointes et de misérables jeux de mots faisaient le principal ornement : en un mot toutes les règles de l'art, celles même de l'honnêteté et de la bienséance, partout violées.
Page 177 - C'est que je le garde : Voilà mon dernier mot." Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté.
Page 176 - Sur le riant coteau par le prince choisi , S'élevait le moulin du meunier Sans-Souci. Le vendeur de farine avait pour habitude D'y vivre au jour le jour, exempt d'inquiétude , Et de quelque côté que vînt souffler le vent, II y tournait son aile et s'endormait content. Fort bien achalandé , grâce à son caractère...
Page 164 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Page 177 - Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi.
Page 186 - Qu'on tapisse partout de fleurs, d'herbage frais; Des branches au-dessus s'arrondissent en dais ; Le bon prélat s'y place, et mille cris de joie Volent au loin ; l'écho les double et les renvoie.
Page 177 - II vous faut» est fort bon!... mon moulin est à moi... Tout aussi bien, au moins, que la Prusse est au roi. • — Allons, ton dernier mot, bonhomme, et prends-y garde ! — Faut-il vous parler clair ? — Oui. — C'est que je le [garde : Voilà mon dernier mot.
Page 175 - D'un royaume nouveau la gloire et le soutien, Grand roi, bon philosophe, et fort mauvais chrétien. Il voulait se construire un agréable asile, Où, loin d'une étiquette arrogante et futile...
Page 176 - Frédéric le trouva conforme à ses projets, Et du nom d'un moulin honora son palais. Hélas ! est-ce une loi sur notre pauvre terre Que toujours deux voisins auront entre eux la guerre, Que la soif d'envahir et d'étendre ses droits Tourmentera toujours les meuniers et les rois?