Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi. Œuvres choisies - Page 177de François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux - 1863Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-François de La Harpe - 1807 - 646 pages
...Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, 33 Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. 33 II faut vous en passer ; je l'ai dit , j'y persiste. » Les rois mal aisément souffre qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté , v Pardieu ! de ton moulin... | |
| François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux - 1818 - 456 pages
...fils y vient de naître ; " C'est mon Postdam à moi ; je suis têtu peut-être; » Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez , mille ducats, » Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. « Il faut vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois mal aisément souffrent qu'on leur... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1819 - 392 pages
...fils y vient de naître ; C'est mou Postdam, à moi. Je suis tranchant, peut-être : Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. Contti. l5 îl faut vous en passer; je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on... | |
| Jean-François de La Harpe - 1820 - 362 pages
...vient de naître; • C'est mon Potsdam , à moi ; je suis têtu , peut - être ; - Ne l'ètes-vous jamais ? Tenez , mille ducats , • Au bout de vos discours , ne me tenteraient pas. • fl faut vous en passer; je l'ai dit, j'y persiste. » Le* rois mal aisément souffrent qu'on leur... | |
| 1824 - 490 pages
...vient de naître ; « C'est mon Postdam , à moi. Je suis tranchant peut-être : « Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez , mille ducats , « Au bout de vos discours , ne me tenteraient pas. « Il faut vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste. » Les rois malaisément souffrent qu'on leur... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...fils y vient de naître ; C'est mon Postdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Xe l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. Il faut vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les Rois malaisément souffrent qu'on leur résiste.... | |
| 1835 - 512 pages
...mon fib y vient de naître; „C'est mon Potsdam à mei; je suis têtu peut-être; ..Ne l'êlcs-vous jamais? Tenez, mille ducats, .Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. „Il faut vous en passer, je l'ai dit, j'y persiste." Les rois mal aisément souffrent qu'on leur... | |
| Charles Delalleau - 1835 - 512 pages
...« Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille ducats, <i Au bout de vos discours, ne me tenteraient pas. u II faut vous en passer , je l'ai dit , j'y persiste. « Les. rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric un moment par l'humeur emporté : « Pardicu... | |
| Charles Jean Delille - 1841 - 474 pages
...fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam*, à moi. Je suis tranchant peut-être: Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout de vos discours,...en passer ; je l'ai dit : j'y persiste." Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu... | |
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