Oeuvres complètes de Rollin, Volume 27F. Didot, 1821 |
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actions Agésilas Annibal armée Assyriens Astyage Athéniens avaient Babylone Carthage chose Cicéron Cimon citoyens cœur consul courage Cyaxare Cyrus déja Démarate dessein Dieu dieux digne dit-il donner Égypte enfants ennemis Epist Ésaü etiam eût Ézéchias faisait frères frugalité grace grandeur d'ame Grèce guerre Hæc hommes Ibid infiniment Isaïe j'ai Jérusalem Jésus-Christ jeunes gens Joseph juger justice l'Égypte l'empire l'esprit l'histoire sainte Lacédémoniens laisser long-temps Lycurgue magnificence maison maître ment mérite mille modestie nihil parler passer patrie pauvreté père Périclès Perses personne peuple Plut Plutarque Polybe prince prophète public puissance quæ quàm quum regarde rendre république république romaine richesses rien rois Romains Rome royaume sage sagesse Scipion seconde guerre punique Seigneur sénat Sennachérib sentiments serait servir seul siècles soin solide gloire sorte Sparte sur-tout Syphax terre Thémistocle tion Tite-Live troupes trouver véritable vertu victoire Vita Xerxès καὶ τὴν τὸ
Fréquemment cités
Page 194 - Et comme dans toutes les affaires il ya ce qui les prépare , ce qui détermine à les entreprendre, et ce qui les fait réussir, la vraie science de l'histoire est de remarquer dans chaque temps ces secrètes dispositions qui ont préparé les grands changements , et les conjonctures, importantes qui les ont fait arriver.
Page 105 - Et il lui donna la puissance, l'honneur et le royaume; et tous les peuples, et toutes les tribus, et toutes les langues le serviront. Sa puissance est une puissance éternelle qui ne lui sera point ôtée, et son royaume ne sera jamais détruit.
Page 193 - Dieu a voulu aussi que le cours des choses humaines eût sa suite et ses proportions : je veux dire que les hommes et les nations ont eu des qualités proportionnées à l'élévation à laquelle ils étaient destinés, et qu'à la réserve de certains coups extraordinaires où Dieu voulait que sa main parût toute seule, il n'est point arrivé de grand changement qui n'ait eu ses causes dans les siècles précédents.
Page 65 - Monsieur, il n'ya point de pitié en moi, car je meurs en homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, de vous voir servir contre votre prince et votre patrie et votre serment.
Page 249 - ... rationes administras tam abstinenter quam alienas, tam diligenter quam tuas, tam religiose quam publicas. in officio amorem consequeris, in quo odium vitare difficile est: sed tamen, mihi crede, satius est 4 vitae suae rationem quam frumenti publici nosse.
Page 63 - César, qui disait qu'il aimerait mieux être le premier dans un village que le second à Rome.
Page 174 - ... pendant l'été, et ils disparurent sans qu'il s'en trouvât plus rien en aucun lieu; mais la pierre qui avait frappé la statue devint une grande montagne qui remplit toute la terre.
Page 149 - Rachel, sa mère, et il leur dit : Est-ce là le plus jeune de vos frères dont vous m'aviez parlé? Mon fils, ajouta-t-il, je prie Dieu qu'il vous soit toujours favorable. « Et il se hâta de sortir, parce que ses entrailles...
Page 55 - Il se cache; mais sa réputation le découvre; il marche sans suite et sans équipage, mais chacun dans son esprit le met sur un char de triomphe. On compte, en le voyant, les ennemis qu'il a vaincus, non pas les serviteurs qui le suivent; tout seul qu'il est, on se figure autour de lui ses vertus et ses...
Page 27 - Ehl quoi, mon maître ! vous disiez que, si vous aviez mille écus de rente, vous seriez content; je crois que vous les avez et plus. Sire, répondit -il, l'appétit vient en mangeant.