The Literature of FranceJ. Murray, 1892 - 219 pages |
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Fréquemment cités
Page 157 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Page 59 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 60 - Le bien de la fortune est un bien périssable; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
Page 112 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 157 - N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. Les stances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers sur le vers n'osa plus enjamber.
Page 68 - Dût le ciel égaler le supplice à l'offense, Trône, à t'abandonner je ne puis consentir ; Par un coup de tonnerre il vaut mieux en sortir ; II vaut mieux mériter le sort le plus étrange. Tombe sur moi le ciel, pourvu que je me venge...
Page 169 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Page 40 - Pour ce coup, je ne voudrais sinon entendre comme il se peut faire, que tant d'hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n'a puissance que celle qu'on lui donne; qui n'a pouvoir de leur nuire, sinon de tant...