Chefs-d'oeuvre de Jean Racine: Prepared for the use of colleges & schools. With explanatory notes & references to the "New French method"

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Ivison & Phinney, 1856 - 320 pages
 

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Fréquemment cités

Page 128 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Page 246 - I que son joug est aimable ! Heureux qui dès l'enfance en connaît la douceur ! Jeune peuple , courez à ce maître adorable : Les biens les plus charmants n'ont rien de comparable Aux torrents de plaisirs qu'il répand dans un cœur. Que le Seigneur est bon ! que son joug est aimable ! Heureux qui dès l'enfance en connaît la douceur ! UNE AUTRE.
Page 284 - Ami, peux-tu penser que d'un zèle frivole Je me laisse aveugler pour une vaine idole, Pour un fragile bois...
Page 320 - Par cette fin terrible, et due à ses forfaits, Apprenez, roi des Juifs, et n'oubliez jamais Que les rois dans le ciel ont un juge sévère, L'innocence un vengeur, et l'orphelin un père.
Page 13 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.
Page 76 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur,, pleurer un moment avec lui.
Page 267 - J'ai senti tout à coup un homicide acier, Que le traître en mon sein a plongé tout entier.
Page 275 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vous avez su me plaire. Vous n'êtes point sans doute* un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier. Laissez là cet habit, quittez ce vil métier. Je veux vous faire part de toutes mes richesses. Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 147 - J'entrai dans son vaisseau, détestant sa fureur, Et toujours détournant ma vue avec horreur. Je le vis : son aspect n'avait rien de farouche ; Je sentis le reproche expirer dans ma bouche; Je sentis contre moi mon cœur se déclarer; J'oubliai ma colère, et ne sus que pleurer; Je me laissai conduire à cet aimable guide.
Page 209 - Quel carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les enfants , les vieillards , Et la sœur et le frère , Et la fille et la mère , Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés, que de membres épars, Privés de sépulture ! Grand Dieu , tes saints sont la pâture Des tigres et des léopards.

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