Derniers momens de Napoléon, ou, Complément du Mémorial de Ste-Hélène, Volume 1H. Tarlier, 1825 |
Expressions et termes fréquents
A. M. Même état A. M.-L'empereur Ajaccio anglais ANTOMMARCHI assez Autrichiens avaient avez avions bain bataille blessés Bonaparte brave c'était calèche Campagne d'Égypte cautère cher cherchait chose comte Bertrand conseil Corse Corvisart d'Égypte demander Desaix dissipée dit-il docteur donner douleur au foie douleur de tête Égypte éprouve êtes étions eût évacuations forces fréquens fût général général Montholon guerre habitans hépatite heures homme j'ai J'allais j'avais j'en j'étais j'eusse jour l'armée L'empereur se trouve l'ennemi l'île l'Italie laisser lavemens long-temps Longwood lord Bathurst m'avait m'en madame Mère majesté malade Mascagni médecin médicamens ment mille Mojaïsk Morsiglia n'avait n'en n'était Napo nerveux novembre nuit octobre parlait passé pense peuples pilules pouls pouvait prendre prince remèdes reste rien Rome royaume d'Italie Sainte-Hélène sais santé de l'empereur sentimens sentir sera sir Hudson Stokoe tion toux toux sèche troupes vait vésicatoires veux Vignali voulait
Fréquemment cités
Page 146 - Eh bien ! malgré l'Angleterre et les ministres de la cour de Vienne , soyons amis ; la république française a sur vous les droits de conquête ; qu'ils disparaissent devant un contrat qui nous lie réciproquement. Vous ne vous mêlerez pas d'une guerre qui n'a pas votre aveu.
Page 220 - L'on hait ici et l'on est prèl à combattre les nouveaux révolutionnaires , quel que soit leur but. Plus de révolution , c'est l'espoir le plus cher du soldat. Il ne demande pas la paix, qu'il désire intérieurement, parce qu'il sait que c'est le seul moyen de ne la pas obtenir , et que ceux qui ne la désirent pas l'appellent bien haut pour qu'elle n'arrive pas ; le soldat se prépare à de nouvelles batailles , et s'il jette quelquefois un coup...
Page 170 - Y aurait-il quelqu'un assez incrédule pour révoquer en doute que tout, dans ce vaste univers, est soumis à l'empire du destin? Faites connaître au peuple que, depuis que le monde est monde, il était écrit qu'après avoir détruit les ennemis de l'islamisme, fait abattre les croix , je viendrais du fond de l'Occident remplir la tâche qui m'a été imposée. Faites voir au peuple que, dans le saint livre du...
Page 319 - Vendémiaire, il commandait une des divisions d'artillerie qui défendait la Convention ; il fut sourd aux séductions d'un grand nombre de ses connaissances et des personnes de sa société. Je lui demandai si le gouvernement pouvait compter sur lui : « Oui, me dit-il, j'ai fait serment de soutenir la République, je fais partie de la force armée, j'obéirai...
Page 422 - J'ai veillé moi-même à l'établissement des formes régulières et conservatrices dans les finances de l'état, et j'espère que mes peuples se trouveront bien de l'ordre que j'ai ordonné à mes ministres des finances et du trésor public de mettre dans les comptes qui seront publiés. J'ai consenti que la dette publique portât le nom de Mont-Napoléon, afin de donner une garantie de plus aux engagemens qui la constituent, et une nouvelle vigueur au crédit.
Page 425 - Melzi , pendant quatre ans dépositaire de mon autorité comme vice-président, un domaine qui , restant dans sa famille , atteste à ses descendans la satisfaction que j'ai eue de ses services. « Je crois avoir donné de nouvelles preuves de ma constante résolution de remplir envers mes peuples d'Italie tout ce qu'ils attendent de moi.
Page 282 - Mont-Carmel , faitesles évacuer de suite sur Jaffa. « Faites embarquer , autant qu'il vous sera possible , l'artillerie qui vous a été envoyée à Jaffa , sans cependant faire tort aux malades. « Faites en sorte que demain au soir j'aie un état exact des blessés évacués et de ce qui reste. « Faites connaître aux blessés que l'ennemi a voulu faire une sortie , qu'il a perdu quatre cents hommes , et qu'on a pris neuf drapeaux.
Page 377 - J'invite les savants à se réunir et à me proposer leurs vues sur les moyens qu'il y aurait à prendre , ou les besoins qu'ils auraient pour donner aux sciences et aux beaux-arts une nouvelle vie et une nouvelle existence. Tous ceux qui voudront aller en France y seront accueillis avec distinction par le gouvernement.
Page 346 - J'étais querelleur lutin : je ne craignais personne. Je battais l'un, j'égratignais l'autre, je me rendais redoutable à tous. Mon frère Joseph était celui à 'qui j'avais le plus souvent affaire. Il était battu, mordu, grondé ; j'avais déjà porté plainte qu'il ne s'était pas encore remis. Bien m'en prenait d'être...
Page 171 - Je pourrais demander compte à chacun de vous des sentiments les plus secrets du cœur, car je sais tout, même ce que vous n'avez dit à personne; mais un jour viendra que tout le monde verra avec...