 | Claude Bernard Petitot - 1827 - 478 pages
...se retirer ce même soir à Fressinet du Pô. Il est vrai qu'on n'a rien vu de si extraordinaire : deux armées n'ont jamais été si prêtes à se mêler,...parler à ceux qui la commandoient, et promettre qu'ils leveroient le siége le lendemain , à condition que les Français ne laisseroient point de garnison... | |
 | comte Du Plessis-Praslin - 1827 - 492 pages
...se retirer ce même soir à Fressinet du Pô. Il est vrai qu'on n'a rien vu de si extraordinaire : deux armées n'ont jamais été si prêtes à se mêler,...de la tête de notre armée parler à ceux qui la eommandoient, et promettre qu'ils leveroient le siége le lendemain, à condition que les Français... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1827 - 482 pages
...Pô. Il est vrai qu'on n'a rien vu de si extraordinaire : deux armées n'ont jamais été si prêles à se mêler, et c'est une espèce de miracle que...parler à ceux qui la commandoient, et promettre qu'ils leveroient le siége le lendemain, à condition que les Français ne laisseroient point de garnison... | |
 | 1827 - 510 pages
...à se retirer ce même soir à Fressinet du Pô. H est vrai qu'on n'a rien vu de si extraordinaire : deux armées n'ont jamais été si prêtes à se mêler,...la chose pour la croire ; elle ne fut pas honorable anx Espagnols. Leurs généraux sortirent de leur circonvallation, et vinrent près de la tête de... | |
 | 1827 - 502 pages
...Pô. Il est vrai qu'on n'a rien vu de si extraordinaire : deux armées n'ont jamais été si prêles à se mêler, et c'est une espèce de miracle que...l'entremise d'un seul homme les ait arrêtées tout court. II faut avoir vu la chose pour la croire ; elle ne fut pas honorable aux Espagnols. Leurs généraux... | |
 | Umberto Silvagni - 1928 - 634 pages
...vrai qu'on n'a rien vu de si extraordinaire : deux armées n'ont jamais été si prêtes à se meler, et c'est une espèce de miracle que l'entremise d'un...tout court: il faut avoir vu la chose pour la croire »(1). Omettiamo, per brevità, molte altre citazioni; aggiungiamo queste di due altri contemporanei,... | |
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... déjà plusieurs coups de canon tirés ; et qu'il obligea les Espagnols à la levée du siége de cette place, si considérable aux deux couronnes, et les Francais à se retirer ce même soir à Fressinet du Pô. Il est vrai qu'on n'a rien vu de si... 