Histoire de France, Volume 1

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Hachette, 1868
 

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Page 162 - ... délibérations pût être mis sous les yeux du grand prince qui alors, avec la sagesse qu'il avait reçue de Dieu, adoptait une résolution à laquelle tous obéissaient. Les choses se passaient ainsi pour un, deux capitulaires , ou un plus grand nombre, jusqu'à ce qu'avec l'aide de Dieu toutes les nécessités du temps eussent été réglées.
Page 622 - qu'il avoit grand pitié de lui , le voyant en » cet estât , pour avoir esté si vertueux chevalier. » Le capitaine Bayard lui fit réponse, monsieur, » il n'ya point de pitié en moi, car je meurs » en homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, » de vous voir servir contre votre prince, et » votre patrie, et votre serment.
Page 102 - Francs, traversa les Pyrénées, puis les villes de Narbonne et de Carcassonne, sans sortir du royaume des Goths qui s'étendait jusque-là; ensuite elle se dirigea par la route de Poitiers et de Tours, vers la cité de Rouen, où devait avoir lieu la célébration du mariage. Aux portes de chaque grande ville, le cortège faisait...
Page 560 - Comme l'histoire le raconte, et comme je l'ai appris de mes pères, dans l'origine le peuple souverain créa des rois par son suffrage, et il préféra particulièrement les hommes qui surpassaient les autres en vertu et en habileté. En effet, chaque peuple a élu un roi pour son utilité. Oui, les princes sont tels, non afin de tirer un profit du peuple et de s'enrichir à ses dépens, mais pour, oubliant leurs intérêts, l'enrichir et le conduire du bien au mieux.
Page 153 - A Charles- Auguste, couronné par Dieu, grand et pacifique empereur des Romains, vie et victoire!
Page xvii - ... deux instruments, et pour ainsi dire, deux bras, avec lesquels elle remue le monde, sa langue et l'esprit de prosélytisme qui forme l'essence de son caractère; en sorte qu'elle a constamment le besoin et le pouvoir d'influencer les hommes.
Page 94 - Elle, remplie de joie, et ne sachant pas leur artifice, après avoir fait boire et manger les enfants, les envoya en disant : « Je croirai n'avoir pas perdu mon fils, si je vous vois succéder à son royaume.
Page 468 - Croyez-vous que votre roi a bien fait de tuer ou faire tuer monseigneur de Bourgogne ? — Ce fut grand dommage pour le royaume de France. Mais, quelque chose qu'il y eût entre eux, Dieu m'a envoyée au secours du roi de France '. 231 — Jehanne, savez-vous par révélation si vous échapperez ? — Cela ne touche point votre procès.
Page 378 - Ha, gentil sire, depuis que je repassai la mer en grand péril, si comme vous savez, je ne vous ai rien requis ni demandé : or vous...
Page 82 - Clovis par les évêques du midi; mais un jour «le roi dit à ses soldats : « Je supporte avec g^rand « chagrin que ces ariens possèdent « une partie des Gaules. Marchons, « avec l'aide de Dieu, et après les avoir « vaincus, réunissons le pays en notre

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