Souvenirs et lettres de Claude-Victor-Antonin: dimier de la brunetière, engagé volontaire pour la campagne de 1870-1871 sergent au 45e de marche

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Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 441 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 439 - Je suis la Résurrection et la Vie ; celui qui croit en moi, vivra, quand même il serait mort ; 26 Et quiconque vit et croit en moi, ne mourra point pour toujours.
Page 81 - Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années.
Page 437 - Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix et qu'il me suive.
Page 398 - Dieu consolateur , qui aura essuyé nos larmes de sa propre main, et devant qui les douleurs et les gémissements s'enfuiront à jamais. Pendant qu'il nous reste encore ce moment si court et si léger des épreuves , ne perdons rien du prix de la croix. Souffrons humblement et en paix. L'amourpropre nous exagère nos peines et les grossit dans notre imagination. Une...
Page 442 - Judas les mena camper en face de l'ennemi. • Tenez-vous prêts, leur dit-il, pour le matin. Mieux vaut mourir dans le combat que de voir les maux de notre peuple et du sanctuaire. Qu'il arrive de nous ce que Dieu a résolu!
Page 356 - Il est véritablement juste et raisonnable , il est équitable et salutaire de vous rendre grâces en tout temps et en tout lieu, ô Seigneur...
Page 9 - Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme. Craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne (1).
Page 242 - Rachel pleurant ses enfants et ne voulant pas être consolée, parce qu'ils ne sont plus : quia non sunt.
Page 372 - ... enfin , il en est qui ne font que se montrer à la terre , qui finissent du matin au soir , et qui, semblables à la fleur des champs, ne mettent presque point d'intervalle entre l'instant qui les voit éclore , et celui qui les voit sécher et disparaître.

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