Revue d'histoire littéraire de la France, Volume 16Maurice Tourneux A. Colin, 1909 |
Autres éditions - Tout afficher
Revue d'histoire littéraire de la France, Volumes 25 à 26 Maurice Tourneux Affichage du livre entier - 1918 |
Revue d'histoire littéraire de la France, Volumes 9 à 10 Maurice Tourneux Affichage du livre entier - 1902 |
Revue d'histoire littéraire de la France, Volumes 7 à 8 Maurice Tourneux Affichage du livre entier - 1900 |
Expressions et termes fréquents
Adolphe Brisson Annotation assez Barberousse barré Bartram Binet Biré Bonnefon Burgraves césure Charles Chateaubriand Chénier Chronique cœur Comédie-Française comédies comte conte Contr'un critique décembre Descharmes discours dramatique écrit édition Essais Faublas février fille Flaubert fragment française Gaston Deschamps Georges Guilleragues Henri Henri III homme Ibid impr j'ai janvier Jean Jules Jules Claretie Juvénal Kohlrausch l'Académie l'Amérique l'auteur l'édition l'histoire légende livre Louis Manuscrit de 1826 marge mars Maurice Mélanie mème Mémoires d'Outre-Tombe ment Molière Montaigne Morand mort Natchez Nicole Gilles NICOLE GILLES Règne note novembre octobre œuvres Orgon passage Paul pensée pièce Pierre Berton poésie poète portrait préface première publié Quenescourt René René Doumic reste REVUE D'HIST Rhin romantique Saint-Pierre Sainte-Beuve satire sauvages scène Sénancour serait seulement siècle souvenirs suiv texte théâtre tion tragédie Trait marginal trouve tyran Victor Hugo Vigny Villey Voltaire Voyage en Amérique Washington William Shakespeare
Fréquemment cités
Page 230 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent ou la précipitent ; tous les accidents sont soumis à ces causes...
Page 228 - Dieu, faisants estât de trouver les causes de chasque accident, et de veoir dans les secrets de...
Page 782 - ... grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles troupes et de leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il n'y avait plus de...
Page 125 - Arme-toi , viens nous défendre : Descends, tel qu'autrefois la mer te vit descendre. Que les méchants apprennent aujourd'hui A craindre ta colère. Qu'ils soient comme la poudre et la paille légère Que le vent chasse devant lui.
Page 28 - Lorsque le fils d'Egée, invincible, sanglant, L'aperçoit, à l'autel prend un chêne brûlant, Sur sa croupe indomptée, avec un cri terrible, S'élance, va saisir sa chevelure horrible, L'entraîne, et, quand sa bouche ouverte avec effort Crie, il y plonge ensemble et la flamme et la mort. L'autel est dépouillé. Tous vont s'armer de flamme.
Page 576 - Il n'ya pas de grimaud sortant du collège qui n'ait rêvé être le plus malheureux des hommes; de bambin qui à seize ans n'ait épuisé la vie, qui ne se soit cru tourmenté par son génie; qui, dans l'abîme de ses pensées, ne se soit livré au...
Page 576 - Une famille de René poètes et de René prosateurs a pullulé; on n'a plus entendu que des phrases lamentables et décousues; il n'a plus été question que de vents et d'orages, que de mots inconnus livrés aux nuages et à la nuit. Il n'ya pas de grimaud sortant du collège qui n'ait rêvé d'être le plus malheureux des hommes...
Page 337 - Liberté primitive, je te retrouve enfin! Je passe comme cet oiseau qui vole devant moi, qui se dirige au hasard, et n'est embarrassé que du choix des ombrages. Me voilà tel que le Tout-Puissant m'a créé, souverain de la nature...
Page 117 - Le champ qui les reçut les rend avec usure. UNE AUTRE II commande au soleil d'animer la nature, Et la lumière est un don de ses mains ; Mais sa loi sainte, sa loi pure Est le plus riche don qu'il ait fait aux humains.
Page 574 - C'est J.-J. Rousseau qui introduisit le premier parmi nous ces rêveries si désastreuses et si coupables. En s'isolant des hommes, en s'abandonnant à ses songes, il a fait croire à une foule de jeunes gens qu'il est beau de se jeter ainsi dans le vague de la vie. Le roman de Werther a développé depuis ce germe de poison. L'auteur du Génie du Christianisme, obligé de faire entrer dans le cadre de son apologie quelques tableaux pour l'imagination, a voulu dénoncer cette espèce de vice nouveau...