Revue historique, littéraire et archéologique de l'Anjou

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Cosnier et Lachèse, 1858
 

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Fréquemment cités

Page 300 - L'Amitié vint à mon secours ; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours. Touché de sa beauté nouvelle, Et de sa lumière éclairé, Je la suivis ; mais je pleurai De ne pouvoir plus suivre qu'elle.
Page 238 - L'antique orgueil, qui menaçait les cieux, Ces vieux palais, ces monts audacieux, Ces murs, ces arcs, ces thermes et ces temples, Juge, en voyant ces ruines si amples, Ce qu'a rongé le temps injurieux, Puisqu'aux ouvriers les plus industrieux Ces vieux fragments encor servent d'exemples.
Page 170 - Exposer et apprécier l'influence qu'a pu avoir en France sur les » mœurs la littérature contemporaine, considérée surtout au théâtre et
Page 277 - Un sentiment d'orgueil que je ne saurais trop blâmer » dans un jeune homme du tiers -état , disait la reine en parlant de » Barnave, lui a fait applaudir à tout ce qui aplanissait la route » des honneurs et de la gloire pour la classe dans laquelle il est né : » si jamais la puissance revient dans nos mains , le pardon de Bar>1 nave est d'avance écrit dans nos cœurs.
Page 267 - toi, je suis ton père, le soleil; ma main est avec toi, » et je vaux mieux pour toi que des millions d'hommes » réunis ensemble. C'est moi qui suis le seigneur des » forces, aimant le courage ; j'ai trouvé ton cœur ferme » et mon cœur s'est réjoui. Ma volonté s'accomplira... »... Je serai sur eux comme Baal dans sa fureur. Les » deux mille cinq cents chars , quand je serai au » milieu d'eux, seront brisés devant tes...
Page 93 - ... et je n'en ai jamais vu à qui la langueur donnât tant de grâces. Un jour que nous dînions chez une dame du pays , à une lieue de Machecoul, en se regardant dans un miroir qui étoit dans la ruelle , elle montra tout ce que la morbidezza des Italiens a de plus tendre , de plus animé et de plus touchant.
Page 269 - et ni les fantassins ni les cavaliers ne sont venus avec » moi. Le monde entier a donné passage aux efforts de » mon bras, et j'étais seul, aucun avec moi, ni les » princes, ni les généraux, ni les chefs des archers ou » de la cavalerie... Les guerriers se sont arrêtés; ils...
Page 94 - ... Brissac était absent, et, pour plus de sécurité, Paul de Gondi, sur l'avis de la duchesse, fut conduit en carrosse dans une maison isolée et entourée de fossés que possédait un gentilhomme d'Anjou, M. de la Poèze, à deux lieues de Beaupréau. Il existe dans la commune de la Chapelle.Aubry, non loin du Pin-en-Mauges, deux terres assez rapprochées l'une de l'autre qui appartenaient autrefois à la famille de la Poèze : la terre de la Jousselinière et celle de la Poèze. C'est au château...
Page 266 - Alors sa majesté, à la vie saine et forte, se levant comme le dieu Month, prit la parure des combats; couvert de ses armes, il était semblable à Baal dans son heure (3).
Page 237 - Toy, qui de Rome, émerveillé, contemples L'antique orgueil qui menassoit les cieux, Ces vieux palais, ces monts audacieux, Ces murs, ces arcs, ces thermes et ces temples...

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