Mélanges académiques, poétiques, littéraires, philologiques, critiques et historiques, Volume 3H. Agasse, 1806 |
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Mélanges académiques, poétiques, littéraires, philologiques ..., Volume 3 Gabriel-Henri Gaillard Affichage du livre entier - 1806 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 384 - Examinez ma vie, et songez qui je suis. Quelques crimes toujours précèdent les grands crimes; Quiconque a pu franchir les bornes légitimes Peut violer enfin les droits les plus sacrés : Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés; Et jamais on n'a vu la timide innocence Passer subitement à l'extrême licence.
Page 156 - Je vais vous dire une chose hasardée, mais vraie; c'est que le mérite de cet auteur a perdu le théâtre anglais : il ya de si belles scènes, des morceaux si grands et si terribles répandus dans ses farces monstrueuses qu'on appelle tragédies, que ces pièces ont toujours été jouées avec un grand succès.
Page 322 - L'unique allégement qu'elle eût pu recevoir; Et contre ma douleur j'aurais senti des charmes Quand une main si chère eût essuyé mes larmes.
Page 368 - Phèdre en vain s'honorait des soupirs de Thésée : Pour moi, je suis plus fière et fuis la gloire aisée D'arracher un hommage à mille autres offert, Et d'entrer dans un cœur de toutes parts ouvert.
Page 17 - L'astre éclatant de l'univers. Cris impuissants ! fureurs bizarres ! Tandis que ces monstres barbares Poussaient d'insolentes clameurs, Le dieu, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs.
Page 63 - Hélas ! je n'ai point vu ce séjour enchanté , Ces beaux lieux où Virgile a tant, de fois chanté ; Mais, j'en jure et Virgile et ses accords sublimes! J'irai; de l'Apennin...
Page 334 - L'hymen n'est point toujours entouré de flambeaux. Aux portes de Trézène , et parmi ces tombeaux , Des princes de ma race antiques sépultures , Est un temple sacré, formidable aux parjures...
Page 339 - Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords? Par vous aurait péri le monstre de la Crète, Malgré tous les détours de sa vaste retraite.
Page 136 - O fortuné séjour ! ô champs aimés des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés délicieux , Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et , connu de vous seuls , oublier tout le monde...
Page 80 - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.