Oeuvres choisies de M. de Chateaubriand, Volume 14Pourrat Freres, 1834 |
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Adam Agamemnon âme amour animaux antiques auroit avoient avoit beau idéal beauté bonheur causes finales céleste chant CHAPITRE charme chose chrétiens christianisme ciel cœur connoissance connoît corps Créateur créé culte désert Dieu dieux divine dogme Égypte Énée enfants époux éternelle étoient étoit eût Évandre Ève femme fils Florides foible foiblesse GÉNIE DU CHRIST Génie du Christianisme Grecs Henriade Homère hommes humain immortelle Indiens infinie infortunés Jésus-Christ jours l'âme l'amour l'antiquité l'athéisme l'Énéide l'esprit l'homme l'Iliade l'univers lois malheur matière ment mère merveilleux milieu Milton mœurs Moïse monde monseigneur montagne morale mort mouvement mystères n'étoit nature oiseaux paroît passions Pénélope pensée père peuples philosophes Platon poëme poésie poëte POLYEUCTE polythéisme pourroit pouvoit premier prêtre preuve Priam principe Providence Pythagore qu'un raison religion reste rien saint Sauvages sentiments seroit seul siècle soleil solitude sorte sublime temples terre Tertullien tion tombeau trouve Ulysse vérité vertu Virgile voix Voltaire yeux Zaïre
Fréquemment cités
Page 293 - Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines : C'est le sang de vingt rois , tous chrétiens comme moi ; C'est le sang des héros défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs....
Page 367 - L'imagination est riche, abondante et merveilleuse; l'existence pauvre, sèche et désenchantée. On habite, avec un cœur plein, un monde vide; et, sans avoir usé de rien, on est désabusé de tout.
Page 293 - T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux. Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 338 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 104 - Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
Page 238 - Le jour n'y finit point, et la nuit, avec ses sombres voiles, y est inconnue : une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 88 - Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l'Eternel, ton Dieu, tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes.
Page 20 - ... dans cette partie où la vérité se fait entendre , nous y verrons quelque image de la Trinité que nous adorons. La pensée, que nous sentons naître comme le germe de notre esprit, comme le fils de notre intelligence , nous donne quelque idée du Fils de Dieu conçu éternellement dans l'intelligence du Père céleste. C'est pourquoi ce Fils de Dieu prend le nom de Verbe...
Page 428 - J'entends par peuple la populace, qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis.
Page 260 - No las damas, amor, no gentilezas de caballeros, canto, enamorados, ni las muestras, regalos y ternezas de amorosos afectos y cuidados; mas el valor, los hechos, las proezas de aquellos españoles esforzados, que a la cerviz de Arauco no domada pusieron duro yugo por la espada.