cedure for the tanning by mercury. Gewerbeinspektor Dr. Karl Heucke (Wesel) Thema 12. Die Berufskrankheit der Caissonarbeiter. Dr. phil. et med. Hermann Ritter von Schroetter (Wien): Ueber ein prophylaktisches Verfahren Verwendung von classes ouvrières par l'assurance des invalides. Improve- - Lutte contre les maladies infectieuses et assistance Thema 1. Einheitliche Regelung der Prüfungsmethodik für Des- infektionsapparate und Desinfektionsmittel. des méthodes pour fin d'examiner les appareils et les moyens désinfectants. - Uniform regulation of the methods of testing disinfecting apparatus and disinfectants. Prof. E. von Esmarch (Göttingen): Prüfungsmethodik für Des- Prof. B. Proskauer (Berlin): Prüfungsmethodik für Desinfektions- Thema 4. Bekämpfung der Tuberkulose, Fürsorge für Phthisiker. De la lutte antituberculeuse et de l'assistance aux phtisiques. Thema 5. Schutzimpfung gegen Typhus, Pest, Cholera. munisation contre la fièvre typhoïde, la peste et le choléra. Preventive inoculation against typhoid fever, plague, cholera. Prof. Dr. R. Pfeiffer (Königsberg) Prof. Dr. Strong (Manila): Protective inoculation against plague 1085 Thema 7. Verbreitungsweise und Bekämpfung der Pest. manière dont se propage la peste et la lutte contre cette Thema 9. Verhaltungsmaßregeln bei Impflingen zur Verhütung weiterer Ansteckung. Des mesures à prendre pour écarter des vaccinés les chances de transmission d'affections con- Thema 10. Die allgemeine Durchführung der Fleischbeschau mit Rücksicht auf Krankheitsverhütung. L'inspection générale des viandes de boucherie en rapport à la prévention des maladies. Compulsory meat-inspection with reference to Dr. H. Martel (Suresnes, Seine): L'inspection des viandes de boucherie dans ses rapports avec la prophylaxie des maladies Sektion I. Hygienische Mikrobiologie und Parasitologie. (Diskussion und Vorträge finden sich in Bd. IV.) Bericht üb. d. XIV. Intern. Kongr. f. Hygiene u. Demographie. II. 1 1, 1 L'étiologie de la tuberculose. Variabilité du bacille de la tuberculose. Par Prof. S. Arloing (Lyon). Introduction. Le microorganisme contenu dans les lésions tuberculeuses des mammifères et des oiseaux offrant le même aspect et des réactions colorantes identiques, Robert Koch admit d'abord que la tuberculose de ces êtres vivante relevait toujours d'un seul et même bacille. On sait comment il fut amené à accepter, après Rivolta et Maffucci, que le bacille des oiseaux était d'une autre espèce que celui de l'homme et des mammifères. De 1890 à 1895, plusieurs auteurs, particulièrement Straus et Gamaleia, s'attachèrent à faire ressortir une différence profonde, d'ordre spécifique, entre le bacille aviaire et le bacille des mammifères. On se rappelle aussi comment, à la suite des remarques faites par Ch. Smith, Gaiser, Diuwidie, Frothingham, sur le bacille de la tuberculose humaine et celui de la tuberculose bovine, R. Koch et Schütz furent conduits à déclarer au Congrès de Londres, en 1901, que ces deux derniers bacilles étaient absolument différents. Donc, à partir de 1901, nous étions invités à reconnaitre trois espèces de tuberculose, différant profondément l'une de l'autre par les caractères essentiels de leur agent producteur. Quant au bacille de la tuberculose des vertébrés à sang froid, qui parut plus tard dans la science, il va sans dire, a fortiori, qu'il formait lui aussi une espèce particulière. Immédiatement après le Congrès de Londres, m'appuyant sur mes études dont le début remontait à une vingtaine d'années, je m'efforçais de démontrer que les différences signalées entre le bacille de l'homme et celui du boeuf ne dépassaient pas, en importance, les variations auxquelles sont exposés la généralité des microbes, que le bacille de la tuberculose ne formait pas une acception et que ses variations suffisaient à expliquer les caractères habituels de la tuberculose humaine et de la tuberculose bovine. J'ajoutai qu'il y aurait un réel danger, au point de vue médical et hygiénique, à baser sur des diffé |