par décantation ou filtration est donc moins riche en aldéhyde formique; le dépôt ou résidu recueilli représente la différence. Si l'on filtre une solution commerciale à 40% préparée depuis plusieurs mois ou conservée à une température froide et étant devenue trouble ou ayant formé un dépôt on obtiendra une solution qui renfermera par exemple 15 ou 20% d'aldéhyde formique et un dépôt ou résidu blane solide qui représentera sensiblement son poids en aldéhyde formique qu'il serait facile de faire dégager en chauffant ce produit sec ou en le portant à l'ébullition avec de l'eau. Les solutions qui précipitent sont généralement celles qui sont saturées d'aldéhyde formique: il est évident que de telles solutions ne peuvent être utilisées sous leur titre primitif qu'après avoir réincorporé dans le liquide le résidu pulvérisé et remis le tout en suspension homogène dans la solution, sinon on devrait déterminer le titre de la solution décantée ou filtrée! En tout cas ces faits démontrent qu'il est indispensable de vérifier la teneur en aldéhyde formique des solutions commerciales pour assurer l'efficacité de la désinfection sinon l'emploi de ces solutions dans la pratique de la désinfection par les procédés officiellement admis pourrait conduire à une grave insécurité. Pour obvier à ces inconvénients, on a cherché à faire industriellement des solutions stables d'aldéhyde formique1) se maintenant à un titre fixe. Les observations relatives à la vaporisation des solutions d'aldéhyde formique impliquent pour la pratique de la désinfection, lorsqu'on veut projeter une quantité déterminée d'aldéhyde formique pure (CH2O) provenant d'une solution commerciale la nécessité d'opérer avec une solution étendue d'au moins trois à quatre fois son volume d'eau de façon qu'elle renferme environ 10% d'aldéhyde formique pure (CH2O) lorsqu'on n'évapore qu'une partie du liquide-ou de volatiliser la totalité du liquide et du résidu lorsqu'on opère avec des solutions plus concentrées. Ces faits doivent être connus et observés par le service de contrôle. Les titres des solutions sont déterminés soit par le procédé a l'ammoniaque, soit par le procédé à l'hydroxylamine précédemment indiqués. Produits spécialisés. Quant aux procédés employant des produits spécialisés nous ne saurions prévoir d'une façon générale comment on pourrait établir un contrôle efficace à moins d'indication très précises spéciales à chacun d'eux. Résumé. La loi et les décrets relatifs à la Protection de la Santé publique en France prescrivent la déclaration des maladies transmissibles, la désinfection et le contrôle de la désinfection. 1) Ansay, Victor. Communication au Congrès international d'hygiène de Bruxelles. 1903. Bericht üb. d. XIV. Intern. Kongr. f. Hygiene u. Demographie. II. 64 La désinfection comprend: 1. des mesures de précautions d'ordre général; 2. la désinfection proprement dite réalisée soit par des procédés spéciaux appliqués par des services publics ou particuliers soit par l'application de pratiques simples de propreté, le contrôle devra porter sur ces différents points. Le contrôle des mesures de précautions d'ordre général ne peut qu'être laissé à l'initiative individuelle intelligente et instruite: il se traduira par l'observation judicieuse des faits et par des conseils pratiques. Le contrôle de la désinfection proprement dite par des procédés spéciaux peut être efficacement effectué grâce à l'observation rigoureuse des conditions de fonctionnement indiquées dans les certificats d'autorisation. Dans le choix des procédés de désinfection on devra tenir compte de la facilité et de la certitude avec lesquels on peut procéder au contrôle technique de la désinfection. Le contrôle devrait pouvoir être effectué par des moyens simples avant l'opération de désinfection pour qu'il ait des effets utiles dans la pratique. Exceptionellement on pourra recourir à des expériences précises à l'aide des tests bactériens ou chimiques: mais il faudra éviter les expériences insuffisantes et mal interprétées qui porteraient à la pratique de la désinfection un grand préjudice. V, 2 Kontrolle der Desinfektion. Von Direktor Dr. F. Schmid (Bern). Während die Verhütung der übertragbaren Krankheiten im wesentlichen in das Gebiet der öffentlichen und privaten Hygiene fällt, ist die Bekämpfung der aufgetretenen ansteckenden Krankheiten eine Aufgabe der Sanitätspolizei. Unerläßliche Voraussetzung einer wirksamen Bekämpfung ist eine gewissenhafte und prompt ausgeführte Anzeigepflicht. Die Bekämpfung selbst besteht in der Hauptsache in einer zweckentsprechenden Isolierung des Kranken und seines Pflegepersonals und in einer planmäßig ausgeführten Desinfektion, d. h. der Vernichtung oder Unschädlichmachung der von dem Kranken ausgehenden Krankheitskeime. Als Träger der Krankheitskeime kommen außer dem Kranken selbst oder seiner Leiche namentlich in Betracht seine Ausscheidungen (Auswurf, Stuhl, Urin, Erbrochenes, Abschuppungen etc.), damit verunreinigtes Bade- oder Waschwasser, von dem Kranken gebrauchte Gegenstände (Leib- und Bettwäsche, Kleider, Utensilien, Möbel etc.), das Krankenzimmer und andere Räume, in denen der Kranke sich aufgehalten hat, das Pflegepersonal und dessen Kleider, Insekten und andere Tiere, welche mit dem Kranken oder seinen Entleerungen in Berührung gekommen sind, und anderes mehr. Daraus ergibt sich von selbst eine Einteilung der Desinfektion in die Desinfektion am Krankenbett, welche während der ganzen Dauer der Erkrankung stattzufinden hat, und die Schlußdesinfektion, welche nach dem Ablauf der Krankheit (Heilung, Tod) oder nach der Evakuierung des Kranken, z. B. in ein Absonderungshaus, vorzunehmen ist. In beiden Fällen muß sich die Desinfektion nach der Art der Erkrankung und nach den besonderen Verhältnissen des Falles, des Krankenzimmers, der Wohnung etc. richten. Es wird Sache des zuständigen Gesundheitsbeamten sein, die bestehenden, mehr generellen Desinfektionsvorschriften dem einzelnen Falle sachgemäß anzupassen. Daß bei den gemeingefährlichen epidemischen Krankheiten, Pest, Cholera, Gelbfieber, Flecktyphus und Pocken, ferner bei Scharlach, Diphtherie, Genickstarre, Abdominaltyphus, Ruhr, Puerperalfieber, Rotz, Milzbrand, Trachom und auch bei der Tuberkulose eine Desinfektion notwendig sei, darüber sind wohl alle Sachverständigen einig. Weniger ist dies der Fall für weitere Infektionskrankheiten, wie Keuchhusten, Masern, Röteln, Influenza, Parotitis epidemica etc., wo nicht ohne Grund geltend gemacht werden kann, daß bei der starken Verbreitung der betreffenden Krankheitskeime eine Desinfektion im Einzelfalle keine wesentliche Bedeutung habe. Damit nun die Desinfektion überall, wo sie angewendet wird, auch ihren Zweck erreiche, bedarf es einerseits eines wohl geschulten Dienstpersonals, anderseits zweckdienlicher Desinfektionsmethoden und Desinfektionsapparate, deren Wirksamkeit durch eine sachverständige amtliche Kontrolle festgestellt worden ist. Am XIII. internationalen Kongreß für Hygiene und Demographie in Brüssel 1903 wurde im Anschluß an die Referate der Herren Prof. E. von Esmarch in Göttingen, Dr. A. J. Martin in Paris und Dr. M. Hermann in Mons über die Frage der Wohnungsdesinfektion und nach gewalteter Diskussion folgende Resolution gefaßt: „La désinfection des habitations ne doit être faite que par des procédés ou à l'aide d'appareils autorisés à la suite d'expériences très précises de vérification. La pratique de la désinfection des habitations en cas de maladies transmissibles doit être soumise à un contrôle administratif et technique, dont il est urgent d'établir les conditions avec précision. La sixième section prie le comité international permanent de porter à l'ordre du jour du prochain Congrès la question du contrôle de la désinfection." Diesem Wunsche ist das Organisationskomitee des XIV. internationalen Kongresses für Hygiene und Demographie nachgekommen, indem es die Frage der Kontrolle der Desinfektion auf die Traktandenliste der Sektion V: „Bekämpfung der ansteckenden Krankheiten und Fürsorge für Kranke", gesetzt und drei Referenten dafür bestellt hat. Die Frage trennt sich naturgemäß in folgende zwei Teile: 1. Die Feststellung der in Frage kommenden Kontrollmethoden sowohl für die Desinfektionsapparate als die zur Anwendung gelangenden Desinfektionsverfahren und 2. die Besprechung der administrativen Organisation dieser Kontrolle. Die Herren Dr. Czaplewski in Cöln und Dr. Bonjean in Paris haben die Behandlung des ersten Teils der Frage übernommen, während der Sprechende in aller Kürze über den zweiten Teil referieren wird. Wie bereits erwähnt, haben wir bei der Ausführung der Desinfektion zu unterscheiden zwischen der fortlaufenden Desinfektion während der Krankheit und der Schlußdesinfektion nach Ablauf der Erkrankung. Die letztere teilt sich in der Regel in die Wohnungsdesinfektion und die Anstaltsdesinfektion. Bei der Anstaltsdesinfektion kommen stets, bei der Wohnungsdesinfektion häufig Apparate zur Verwendung. In den Anstalten werden gegenwärtig fast ausschließlich Desinfektionsapparate mit strömendem oder gespanntem gesättigtem Wasserdampf gebraucht, seltener und nur für gewisse Zwecke auch Formaldehydapparate (Formaldehydschränke). Die Dampfdesinfektionsapparate werden auch fahrbar hergestellt, so daß man, statt die zu desinfizierenden Objekte nach der Desinfektionsanstalt zu verbringen, mit dem Apparat zu dem infizierten Haus fahren und die durch Wasserdampf zu sterilisierenden Gegenstände dort desinfizieren kann, ein Verfahren, das aber in mehrfacher Hinsicht hinter der Anstaltsdesinfektion zurücksteht und nur da angewandt werden sollte, wo keine Desinfektionsanstalt zur Verfügung steht. Bei der Wohnungsdesinfektion werden ja nach dem geübten Verfahren Formaldehydapparate verschiedener Konstruktion oder Sprayapparate für antiseptische Lösungen verwendet, wenn man nicht von jeglichem derartigen Hilfsmittel absieht. Das nämliche ist der Fall bei der Desinfektion von Eisenbahn- und Tramwaywagen oder von Kajüten, Kabinen und ähnlichen Wohnräumen auf Schiffen. Von den Apparaten, welche zur Vernichtung von Pestratten, Mäusen etc. auf Schiffen dienen, wollen wir hier absehen. von Die erste Aufgabe einer richtig organisierten staatlichen Kontrolle der Desinfektion wird es sein, dafür zu sorgen, daß nur bewährte und behördlich anerkannte Systeme Desinfektionsapparaten, sei es für die Anstaltsdesinfektion, sei es für die Wohnungsdesinfektion, von den Gesundheitsbehörden angeschafft werden. Jedes neue System muß also einer genauen wissenschaftlich-technischen Prüfung nach den verschiedensten Richtungen hin und unter den verschiedenen in Betracht fallenden Bedingungen unterzogen werden, und erst dann, wenn die Wirksamkeit und Brauchbarkeit des neuen Systems hinreichend erwiesen ist, dürfen die danach erstellten Apparate für den öffentlichen Desinfektionsdienst Verwendung finden. Zu diesem Behufe wird es sich empfehlen, von Zeit zu Zeit eine Liste der von der Kontrolle erprobten und als zulässig anerkannten Desinfektionsapparate den Interessenten zur Kenntnis zu bringen, resp. dieselbe in den amtlichen Publikationsorganen zu veröffentlichen. Selbstverständlich ist es Sache des Erfinders oder Herstellers eines neuen Systems, um die Prüfung seines Apparates einzukommen, unter gleichzeitiger Angabe der Zweckbestimmung und Einreichung der nötigen Planzeichnungen sowie einer genauen Beschreibung des Apparates und seiner Handhabung. Auch werden die Kosten der Untersuchungen wohl in der Regel zu seinen Lasten fallen. Die Prüfung und Anerkennung neuer Systeme von Desinfektionsapparaten muß eine einheitliche sein und daher von der zentralen Landessanitätsbehörde aus erfolgen. Sie sollte, wenn möglich, nach international vereinbarten Regeln und Grundsätzen stattfinden. Wer im Einzelfall mit der Vornahme der Untersuchungen betraut wird, ein zentrales Gesundheitsamt, ein hygienisches Institut, eine Fachkommission etc., ist von sekundärer Bedeutung und hängt von den besonderen Verhältnissen eines Landes ab. In der Schweiz wurden derartige Untersuchungen und Begutachtungen seitens der eidgenössischen Sanitätsbehörde (Gesundheitsamt) bis jetzt dem Institut für Erforschung der Infektionskrankheiten in Bern oder einem hygienischen Institut übertragen. In mustergültiger Weise ist die Prüfung und Gutheißung von neuen Desinfektionsapparaten und Desinfektionsverfahren in Frank |