Ausführliche Redekunst: nach Anleitung der alten Griechen und Römer, wie auch der neuern Ausländer, in zweenen Theilen verfasset, und mit Exempeln erläutert. Statt einer Einleitung ist das alte Gespräche von den Ursachen der verfallenen Beredsamkeit vorgesetzet |
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allezeit alſo alten Anfange audy Augen Beredſamkeit beſſer beſten bringen Cicero cine daben Daher darinn derſelben deſſen deſto dieſe dieſelbe Dinge eben Ehre eigenen einige einmal Ende endlich entweder Erempel erſten fallen fann faſt Feinde feine fenn fern fich find folche Gaben ganze geben Gedanken gehalten gemacht gemeinen geweſen gewiſſe giebt gleich Gott großen guten Hand Herren Herrn Herz indem iſt Jahre König könnte Krieg kurz lange laſſen Leben Lehrer leicht Leute lich Liebe machen macht Mann Menſchen muß müſſen mußte Namen Natur neuen nid)t niemand recht Rede Redner Regeln Richter Sache ſagen ſchon Schreibart Schriften Schüler ſehr ſein ſeiner ſelbſt ſeyn ſich ſid ſie ſind ſo viel ſolche ſoll ſollte ſondern ſonſt Sprache Stadt theils thun übrigen unſrer Vernunft wahr Wahrheit weis Welt wenig wider will Willen wiſſen wohl wollen wollte Wörter zeigen Zuhörer
Fréquemment cités
Page 411 - N'est-il pas permis à ceux qui vivent « dans les bois d'ignorer qui tu es et d'où tu viens? Nous ne « voulons ni obéir ni commander à personne.
Page 413 - Passe seulement l'Iaxarte , et tu verras l'étendue de nos plaines. Tu as beau suivre les Scythes ; je te défie de les atteindre. Notre pauvreté sera toujours plus agile que ton armée chargée des dépouilles de...
Page 414 - Mais ne t'imagine pas que ceux que tu auras vaincus puissent t'aimer : il n'ya jamais d'amitié entre le maître et l'esclave ; et une paix forcée est Bientôt suivie de la guerre. Au reste , ne pense pas que les Scythes , pour contracter une alliance , fassent aucun serment : ils n'ont point d'autre serment que de garder la foi sans la jurer.
Page 412 - Indes, & tu viens encore ici pour nous enlever nos troupeaux. Tes mains ont beau être pleines, elles cherchent toujours nouvelle proie; & qu'as-tu que faire de tant de richeflès, qui ne font qu'accroître ta foif?
Page 412 - Mèdes, et nous nous sommes ouvert le chemin jusque dans l'Egypte. " Mais toi qui te vantes de venir pour exterminer les voleurs, tu es toi-même le plus grand voleur de la terre; tu as pillé et saccagé toutes les nations que tu as vaincues ; tu as pris la Lydie , envahi la Syrie; la Perse , la Bactriane ; tu as pénétré jusqu'aux Indes , et tu viens encore ici pour nous ravir nos troupeaux.
Page 411 - D'une main tu toucherais l'orient, et de l'autre « l'occident ; et non content de cela, tu voudrais suivre « le soleil et savoir où il se cache. Tel que tu es, tu ne « laisses pas d'aspirer où tu ne saurais atteindre. De « l'Europe tu passes dans l'Asie ; et quand tu auras sub« jugué tout le genre humain, tu feras la guerre aux « rivières, aux forêts et aux bêtes sauvages. Ne sais...
Page 412 - A nos amis nous leur donnons du bled provenu du travail de nos boeufs, avec eux nous offrons du vin aux dieux dans la coupe, & pour nos ennemis, nous les combattons de loin à coups de flèche , de prés avec le javelot.
Page 413 - ... J'apprends que les Grecs font passer en proverbe et en raillerie la solitude des Scythes. Oui , nous aimons mieux nos déserts que vos grandes villes et vos fertiles campagnes. « Crois-moi, la fortune est glissante; tiens-la bien , qu'elle ne t'échappe : encore auras-tu de la peine à la retenir, si elle a envie de te quitter. Au moins donne-lui un frein, de peur qu'elle ne t'emporte. Nos gens disent que la fortune n'a point de pieds, mais qu'elle a des mains et des ailes , et que lorsqu'elle...
Page 414 - ... égaux, qui n'ont point éprouvé, leurs forces l'un contre l'autre. Mais ne t'imagine pas que ceux que tu auras vaincus te...