Romanische Forschungen, Volume 29

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Vittorio Klostermann, 1911
 

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Fréquemment cités

Page 370 - C'est un ouvrage à public. Celui-là fera lire les autres. » Je ne me trompais pas. « II ne faut disséquer que les morts : cette manière de chercher à ouvrir le cerveau d'un vivant est fausse et mauvaise. Dieu seul et le poète savent comment naît et se forme la pensée. Les hommes ne peuvent ouvrir ce fruit divin et y chercher l'amande. Quand ils veulent le faire, ils la retaillent et la gâtent.
Page 404 - Pour dormir sur un sein mon front est trop pesant, Ma main laisse l'effroi sur la main qu'elle touche, L'orage est dans ma voix, l'éclair est sur ma bouche; Aussi, loin de m'aimer, voilà qu'ils tremblent tous. Et quand j'ouvre les bras, on tombe à mes genoux. O Seigneur! j'ai vécu puissant et solitaire. Laissez-moi m'endormir du sommeil de la terre.
Page 419 - Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs.
Page 419 - Je roule avec dédain sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations.
Page 434 - Sie wiederholt die durch reine Kontemplation aufgefaßten ewigen Ideen, das Wesentliche und Bleibende aller Erscheinungen der Welt, und je nachdem der Stoff ist, in welchem sie wiederholt, ist sie bildende Kunst, Poesie oder Musik. Ihr einziger Ursprung ist die Erkenntnis der Ideen; ihr einziges Ziel Mitteilung dieser Erkenntnis.
Page 421 - Des maux immérités de la mort des enfants: Et si les Nations sont des femmes guidées Par les étoiles d'or des divines idées, Ou de folles enfants sans lampes dans la nuit, Se heurtant et pleurant et que rien ne conduit...
Page 404 - L'espérance est la plus grande de nos folies. Cela bien compris, tout ce qui arrive d'heureux surprend. Dans cette prison nommée la vie, d'où nous partons les uns après les autres pour aller à la mort, il ne faut compter sur aucune promenade, ni aucune fleur.
Page 452 - Ton règne est arrivé, PUR ESPRIT, roi du monde! Quand ton aile d'azur dans la nuit nous surprit, Déesse de nos mœurs, la guerre vagabonde Régnait sur nos aïeux. Aujourd'hui c'est l'ÉCRIT, L'ÉCRIT UNIVERSEL, parfois impérissable, Que tu graves au marbre ou traces sur le sable, Colombe au bec d'airain!
Page 229 - Onques ne tint tel feste l'emperère au vis fier, Puis l'eure qu'il porta sa corone premier. Grant joie i ot menée sus el palais plenier. Assés i ont joé Alement, et Baivier, Et Normant, et Anglois, et Breton, et Poihier.
Page 148 - ... similitudinem quae aut ornare aut docere aut apertiorem rem facere aut ponere ante oculos possit.

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