Macmillan's Progressive French ReaderMacmillan and Company, 1884 - 212 pages |
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Macmillan's progressive French reader. First (Second) year, Livre 2 George Eugène Fasnacht Affichage du livre entier - 1880 |
Macmillan's progressive French reader. First (Second) year, Livre 4 George Eugène Fasnacht Affichage du livre entier - 1888 |
Macmillan's progressive French reader. First (Second) year, Livre 2 George Eugène Fasnacht Affichage du livre entier - 1880 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 119 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 102 - N'est-il pas vrai que celui qui l'a fait est bien fat? — Sire, il n'ya pas moyen de lui donner un autre nom.
Page 103 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez; si vous êtes hors de vous-même; si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison : nous en avons fait autant que vous. Adieu ! les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page 119 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 120 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 117 - Vous avez bien sujet d'accuser la nature; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau : Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon , tout me semble zéphyr.
Page 147 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 141 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 118 - Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir, Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait venir Le chanteur et lui dit : Or ça, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an! ma foi, monsieur...
Page 103 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois; jetez-vous votre langue aux chiens? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun ' épouse dimanche au Louvre , devinez qui ? Je vous le donne en quatre , je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.