Histoire de la poësie françoiseÉditeur non identifié, 1706 - 336 pages |
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Expressions et termes fréquents
affez agréable ainfi appelloit arran auffi Auteur avoient avoit beaux Efprits belles bien-tôt aprés Bouts-rimez c'eft c'eſt celebre Chan Chanfons chanter chofe Comédie compofa crû d'efprit Defportes Defpreaux déja délors differentes donna donnoient donnoit Dulot efpece eftimé enfuite Epique eſt étoient étoit faifoient faifoit fans fe font fens fent férieux fervit fes amis fes Ouvrages feul firent foient foin foit foûtenir fouvent fpectacle François Frere Lubin ftile fuite fujets gens d'efprit gloire Grecs Heros Hiftoire ingénieufes jour jufques l'amour laiffa Latins long-tems aprés Lully Mademoiſelle maniere merite Moliere Mufes n'avoient n'avoit n'eft naiffance paffa paffions Parnaffe paroître penfer perfonne Phocide Piece plaifir plufieurs Poë Poëfie Poëme Dramatique Poëtes pofa Pontus de Thyard pouvoit prefenter prefque premiere prit Publius Syrus raifon reçû rent reprefentations rimes Ronfard s'étoit Saint Gelais Satyres Sonnet tems tems-là Theatre tion toûjours Tragédie tres veritable vrages
Fréquemment cités
Page 248 - Coquin ! ce me dit- il d'une arrogance extrême, ya chercher tes coquins ailleurs, Coquin toi-même, Ici tous font égaux, je ne te dois plus rien, Je fuis fur mon fumier , comme toi fur le tien.
Page 113 - Frère Lubin le fera bien : On a beau dire je le tien, Et le presser de satisfaire. Jamais ne vous en rendra rien, Frère Lubin ne le peult faire.
Page 269 - Qu'ainsi que moi , en votre honneur soit sage. Adieu amour , adieu gentil corsage ; Adieu ce teint, adieu ces friands yeux. Je n'ai pas eu de vous grand avantage; Un moins aimant aura peut-être mieux.
Page 301 - Nous attendions de Chapelain, Ce noble et fameux écrivain, Une incomparable Pucelle. La cabale en dit force bien ; Depuis vingt ans on parle d'elle ; Dans six mois on n'en dira rien.
Page 248 - Coquin! ce me dit-il d'une arrogance extrême! Va chercher tes coquins ailleurs, coquin toi-même! Ici tous sont égaux; je ne te dois plus rien : Je suis sur mon fumier comme toi sur le tien.