Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des Babyloniens, des Medes et des Perses, des Macedoniens, des Grecs, Volume 6Freres Estienne, 1776 |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens ..., Volume 6 Charles Rollin Affichage du livre entier - 1775 |
Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens ..., Volume 6 Charles Rollin Affichage du livre entier - 1748 |
Histoire ancienne des Égyptiens, des Carthaginois, des Assyriens ..., Volume 6 Charles Rollin Affichage du livre entier - 1807 |
Expressions et termes fréquents
affez aiant ainſi Alexan Alexandre Amphictyons Antipater Arrien Athénes Athéniens auſſi avoient avoit Babylone Bactriane bataille c'eſt c'étoit cauſe cavalerie cens chevaux choſes Curt d'Alexandre Darius déja Démosthène deſſein devoit Dieu dieux Diod diſcours Ecbatane éléphans ennemis enſuite entrepriſe eſprits eſt étoient étoit faiſoit faloit fans feroit foldats gloire Grecs guerre hommes juſqu'à juſqu'au l'Afie l'armée l'eſprit laiſſa laiſſer lontems Macédoine Macédoniens maître ment mille moien n'avoit n'eſt paffer Parménion paroit paſſa paſſage paſſer Perdiccas Perfes Perſes perſonne peuples Philippe Philotas pié pluſieurs Plut pouvoit premiére preſque Prince priſe promt puiſſance Quinte-Curce raiſon réponſe réſolu reſte riviére roiaume ſage ſans ſe rendre ſe trouva ſecours ſelon ſes ſes troupes ſeul ſeule ſeulement ſiége ſoin ſoit ſoldats ſon armée ſon pere ſont ſous ſouvent ſuccès ſuite ſuivi ſuivre ſujet ſur temple tems Thébains Thebes Thrace vaiſſeaux venoit victoire vûe xandre دو
Fréquemment cités
Page 587 - Philolas, et tant d'autres que l'histoire marque, empêchèrent que la liberté ne dégénérât en licence. Des lois simplement écrites, et en petit nombre, tenaient les peuples dans le devoir, et les faisaient concourir au bien commun du pays.
Page 392 - S'étant éveillé en furfaut , comme on lui mettoit les fers aux mains , il s'écria : Ah ! Seigneur , la. rage de mes ennemis a prévalu fur votre bonté. Après quoi on lui couvrit le vifage , & on l'emmena au palais, fans qu'il dît un feul mot.
Page 594 - Mais cet empire formidable qu'il avait conquis ne dura pas plus longtemps que sa vie, qui fut fort courte. A l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les plus justes espérances d'un heureux succès, il mourut sans avoir eu le loisir d'établir solidement ses affaires, laissant un frère imbécile et des enfants en bas âge, incapables de soutenir un si grand poids.
Page 576 - Jamais nous n'avons mis le pied dans ton pays : n'est-il pas permis à ceux qui vivent dans les bois d'ignorer qui tu es et d'où tu viens? Nous ne voulons ni obéir ni commander à...
Page 413 - ton bonheur, si tu veux en demeurer maître. « Si tu es un dieu, tu dois faire du bien aux mortels, et non « pas leur ravir ce qu'ils ont; si tu n'es qu'un homme, songe «toujours à ce que tu es. Ceux que tu laisseras en paix seront
Page 594 - ... rendre son nom plus fameux que celui de Bacchus , il entra dans les Indes , où il poussa ses conquêtes plus loin que ce célèbre vainqueur. Mais celui que les déserts, les fleuves et les montagnes n'étaient pas capables d'arrêter, fut contraint de céder à ses soldats rebutés qui lui demandaient du repos.
Page 382 - Macédonien conduisait devant lui un mulet chargé d'or pour le roi ; le mulet était si las qu'il ne pouvait plus ni marcher ni se soutenir ; le muletier, prenant la charge, la porta, avec beaucoup de peine, un assez long espace de chemin. Le roi, le voyant accablé sous le poids, et prêt...
Page 248 - Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, & fes habitants font eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'eft point une ville qui appartienne à un peuple particulier ; mais qu'elle eft la ville commune de tous les peuples, & le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles...
Page 430 - Après qu'il eut épuisé toutes ses forces à gémir et à se lamenter, il demeura sans voix , étendu par terre, poussant seulement de temps en temps de profonds soupirs. Ses amis, qui craignaient les suites de ce silence, entrèrent par force dans sa chambre. Il ne fit pas grande attention à ce que tous les autres lui dirent pour le consoler : mais, le devin Aristandre...
Page 114 - Mais si, avec une droiture , une vigilance , une activité infatigable et supérieure à mes forces , je ne cherchai pas , je ne mis pas en œuvre tous les moyens où la prudence...