Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des Babyloniens, des Medes et des Perses, des Macedoniens, des Grecs, Volume 6Freres Estienne, 1776 |
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Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens ..., Volume 6 Rollin Affichage du livre entier - 1775 |
Histoire Ancienne Des Egyptiens, Des Carthaginois, Des Assyriens ..., Volume 6 Charles Rollin Affichage du livre entier - 1736 |
Histoire Ancienne Des Egyptiens, Des Carthaginois, Des Assyriens ..., Volume 6 Charles Rollin Affichage du livre entier - 1752 |
Expressions et termes fréquents
affez aiant ainfi Alexan Alexandre Amphictyons Arrien Athénes Athéniens auffi avoient avoit Babylone Bactriane bataille c'eft c'eſt c'étoit caufe cavalerie cens chevaux chofes confeil confidérable Curt d'Alexandre Darius deffein deffus déja Démofthéne devoit Dieu dieux Diod Ecbatane efprit éléphans enfuite ennemis entrepriſe eſt étoient étoit faifant faifoit faloit fans fe rendre fe trouva feconde fecours felon fent feroit fervir feul fiége foin foit foldats fon armée fon fils fon pere fonge fouffrir fous fouvent fuccès fuite fuivi fujet gloire Grecs guerre hommes jufqu'à l'Afie l'armée laiffer lontems Macédoine Macédoniens maître ment mille moien n'avoit n'eft Néarque Olynthe paffer Parménion paroit Perdiccas Perfes perfonne peuples Philippe Philotas Phocide pié plufieurs Plut pouvoit préfent prefque premiére Prince promt puiffant Quinte-Curce réfolu refte riviére roiaume Scythes ſes Sogdiens temple tems Thébains Thébes Thrace troupes venoit victoire vûe xandre Xerxès دو دو دو رو
Fréquemment cités
Page 565 - Philolas, et tant d'autres que l'histoire marque, empêchèrent que la liberté ne dégénérât en licence. Des lois simplement écrites, et en petit nombre, tenaient les peuples dans le devoir, et les faisaient concourir au bien commun du pays.
Page 384 - S'étant éveillé en furfaut , comme on lui mettoit les fers aux mains , il s'écria : Ah ! Seigneur , la. rage de mes ennemis a prévalu fur votre bonté. Après quoi on lui couvrit le vifage , & on l'emmena au palais, fans qu'il dît un feul mot.
Page 572 - Mais cet empire formidable qu'il avait conquis ne dura pas plus longtemps que sa vie, qui fut fort courte. A l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les plus justes espérances d'un heureux succès, il mourut sans avoir eu le loisir d'établir solidement ses affaires, laissant un frère imbécile et des enfants en bas âge, incapables de soutenir un si grand poids.
Page 552 - Jamais nous n'avons mis le pied dans ton pays : n'est-il pas permis à ceux qui vivent dans les bois d'ignorer qui tu es et d'où tu viens? Nous ne voulons ni obéir ni commander à...
Page 405 - ton bonheur, si tu veux en demeurer maître. « Si tu es un dieu, tu dois faire du bien aux mortels, et non « pas leur ravir ce qu'ils ont; si tu n'es qu'un homme, songe «toujours à ce que tu es. Ceux que tu laisseras en paix seront
Page 572 - ... rendre son nom plus fameux que celui de Bacchus , il entra dans les Indes , où il poussa ses conquêtes plus loin que ce célèbre vainqueur. Mais celui que les déserts, les fleuves et les montagnes n'étaient pas capables d'arrêter, fut contraint de céder à ses soldats rebutés qui lui demandaient du repos.
Page 374 - Macédonien conduisait devant lui un mulet chargé d'or pour le roi ; le mulet était si las qu'il ne pouvait plus ni marcher ni se soutenir ; le muletier, prenant la charge, la porta, avec beaucoup de peine, un assez long espace de chemin. Le roi, le voyant accablé sous le poids, et prêt...
Page 248 - Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, & fes habitants font eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'eft point une ville qui appartienne à un peuple particulier ; mais qu'elle eft la ville commune de tous les peuples, & le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles...
Page 422 - Après qu'il eut épuisé toutes ses forces à gémir et à se lamenter, il demeura sans voix , étendu par terre, poussant seulement de temps en temps de profonds soupirs. Ses amis, qui craignaient les suites de ce silence, entrèrent par force dans sa chambre. Il ne fit pas grande attention à ce que tous les autres lui dirent pour le consoler : mais, le devin Aristandre...
Page 114 - Mais si, avec une droiture , une vigilance , une activité infatigable et supérieure à mes forces , je ne cherchai pas , je ne mis pas en œuvre tous les moyens où la prudence...