Documents diplomatiques: Projets de réformes dans l'empire Ottoman. 1893-1897

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Imprimerie Nationale, 1897 - 371 pages

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Fréquemment cités

Page 59 - Le seul remède qui puisse être encore efficace, c'est que les puissances, qui ont des navires dans les eaux Cretoises, les envoient sans délai bloquer le Pirée et les côtes de la Grèce. Nous avons empêché la Turquie d'envoyer des troupes en Crète : ce serait une félonie de notre part de laisser les Grecs la lui prendre...
Page 204 - Etats neutres pourront venir dans les ports occupés par les forces des puissances et pourront y débarquer leurs marchandises, à la condition qu'elles ne soient destinées ni aux troupes grecques ni à l'intérieur de l'Ile.
Page 180 - ... par les amiraux seraient prises immédiatement. Le blocus de l'île de Crète serait proclamé et rigoureusement appliqué ; tout secours en hommes, en vivres, en munitions serait intercepté et. s'il le faut, les amiraux seraient autorisés à prononcer et à appliquer de concert le blocus effectif de tel ou tel point des îles grecques ou de la Grèce continentale. Telles sont, messieurs, les résolutions que les puissances ont arrêtées en commun pour agir et pour clore une période d'attente...
Page 80 - Les notables musulmans euxmêmes, les beys de Candie, avaient envoyé le 18 février 1897 une députation aux agents consulaires « pour leur déclarer que la population musulmane est prête à accepter toute solution proposée par les Puissances, à l'exception de l'annexion à la Grèce 2 x>.
Page 18 - Autonomie crétoise. 3 les offenses de toute nature au préjudice des officiers et soldats internationaux de terre et de mer et du personnel de la gendarmerie internationale qui se commettraient tant par les indigènes sujets de Sa Majesté Impériale le Sultan que par les administrés étrangers dans le territoire occupé par les Grandes Puissances.
Page 343 - M. HANOTAUX, Ministre des Affaires étrangères, à M. BOURÉE , Ministre de France à Athènes.
Page 146 - Gouvernement français en date du 2 mars. Le Gouvernement a examiné avec toute l'attention qu'ils méritaient les points sur lesquels les Grandes Puissances sont tombées d'accord. Vu leur gravité extraordinaire pour les résultats qui en seront la conséquence, le Gouvernement royal croit de son devoir...
Page 6 - Les soldats turcs ont donné le signal du massacre en tirant des remparts sur la ville. J'ai fait demander, par les consuls, qu'on débarquât des matelots pour sauvegarder ce qui reste; les consuls ont refusé. Aucun espoir. Les chrétiens de la ville seront tous massacrés.
Page 147 - Étant donné que le nouveau régime d'autonomie ne pourrait, à notre avis, répondre au noble but des puissances, il est évident quelle serait la situation de la malheureuse île, de ce jour jusqu'à l'établissement de ce régime, si les grandes puissances croyaient devoir persévérer dans...
Page 147 - Dans cet ordre d'idées et au nom de l'humanité, comme aussi dans l'intérêt de la pacification de l'île, pacification qui fait l'unique objet de la sollicitude des grandes puissances, nous n'hésitons pas à faire appel auprès d'elles au sujet de l'autre mesure, relative au rappel de nos forces militaires. *

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