Œuvres de M. de Falbaire de Quingey, Volume 1Chez la veuve Duchesne, 1787 |
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Œuvres de M. de Falbaire de Quingey, Volume 2 Charles-Georges Fenouillot de Falbaire Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
affez ainfi amant AMÉLIE AMINTAS ANDRÉ auffi avoit baffins Ballet Ballets d'action befoin BERGERS boffes bois bonheur C'eft c'eſt CÉCILE ceffe cents charmes chaudiere chéneaux cher Ciel cœur compere COMTE D'OLBAN danfe deftin derniere Dieu Dieux douces douleur eaux falées efpeces enfuite enſemble ÉOLE eſt étoit fans doute fe trouve feconde fecret féjour fels fenêtre fens fentiment fépare fept ferme générale feul filence foin foit font fous fouvent Franche-Comté fuccès fuis fuivant fujet geftes grace hélas HENRIETTE & MADELON j'ai JANISSAIRES JÉRÔME jeune Fabre jufqu'à l'Amour laiffe LISIMON long-tems Lons-le-Saunier Madame malheureux MARTIN & GRIPON MELIDE Monfieur Montmorot Mufique muids muire Muphti n'eft n'eſt Nymphes paffer pains PALÉMON Pantomimes pere pieds pleurs plufieurs poële poëlon pouces préfent Premier Navigateur premiere puiffe puits QUINGEY quintaux raifon refte s'eft Saline Saline de Salins SCENE SÉMIRE tems Théâtre tranſport tréfor trifte ufage voilà Zéphirs
Fréquemment cités
Page 278 - C'est une vérité dont les grands se chargent souvent de nous instruire. Quelque vent contraire s'élève-t-il dans la région des tempêtes où les place leur élévation, alors nous voyons communément couler avec abondance les larmes de ces demidieux qui...
Page 65 - Ma cônfolation , mon unique plaifir , Mon emploi le plus doux , jufqu'à ce que je meure * Seront de conferver ton tendre fouvenir , De m'occuper de toi , d'y fonger à toute heure , De gémir en fecret fur la fatalité Qui, ne permettant pas qu'on trouvât ta retraite^ Rendit vaine par-tout ma recherche inquiete.
Page 56 - M;iis le sort ne m'a point fait changer avec lui. Comme autrefois je fus riche sans insolence , Je saurai sans bassesse être pauvre aujourd'hui. Je viens vous déclarer qu'ici mon infortune Ne doit auprès de vous rien faire en ma faveur; Car votre ame n'est pas de la trempe commune , Et je ne vous veux point devoir à mon malheur.
Page 95 - Monfieur , votre bonté redouble mon tourment ; Elle a mis ma vertu dans un péril bien grand. Je fuis ; de mon amour je crains la violence. Daignez tous déformais m'épargner ces combats.
Page 75 - Malheureux, devant qui mon ame fe déchire, Modère ta douleur ; reconnois une voix Qui fut, en d'autres tems , la calmer tant de fois. Ah ! que ces tems font loin ! Quel changement terrible Leur a pu fuccéder ! ... Hélas ! comment mes yeux L'auroient-ils reconnu dans ces indignes lieux , Sous cet infime habit, en cet état horrible J j ANDRÉ.
Page 95 - Et du sort qui m'opprime il faut subir la loi. Le ciel veut qu'au tombeau j'emporte ma misère. A quelle épreuve , hélas , met-on ce triste cœur ! Mais , quoi ! je pourrais être à celle que j'adore ! Je pourrois...
Page 67 - L'habitude , le tems Feront naître pour lui de plus doux fentimens, Et l'on vient quelquefois à trouver mille charmes Aux fuites d'un hymen commencé dans les larmes. Peut-être pourrez-vous oublier . . . CÉCILE.
Page 109 - Ou l'horreur de te voir avant que de mourir Ah ! tout me dit en vain qu'il faut que je t'abhorre : Tu fis tous mes malheurs , tu m'arraches le jour, Et tu ne peux, cruel , m'arracher mon amour ! Mon trépas rend enfin cet aveu pardonnable ; II l'expiera du moins : innocent ou coupable , ( à Amélie.) Je meurs en t'adorant.
Page 110 - Par tout ce qu'ont de saint l'amour et la nature, • Par ce feu, dont toujours je brûle malgré moi, Par mes pleurs, qui jamais n'ont coulé que pour toi.
Page 76 - Ah ! j'en mourrois de joie, & tous mes fens d'avance... Mais ces chaînes? ces fers? ce féjour plein d'horreur?