Publications de la Société d'histoire contemporaine, Volume 24A. Picard, 1900 |
Expressions et termes fréquents
Aboukir Alexandrie Anglais Armée d'Orient avez bataillon bâtiments Belbeis Beni Souef Berthier Boulac brumaire Caire chef de brigade cheiks cher général citoyen général commandant commissaire commodore Coptes d'Alexandrie d'El Arisch Damiette demi-brigade Directoire égard envoyé française fructidor an VII général Belliard général Bonaparte général Damas général Dugua général en chef général Friant général Lanusse général Reynier général Verdier Giseh guerre haute Égypte hommes J'ai reçu Katieh KLÉBER A MENOU KLÉBER AU GÉNÉRAL l'adjudant général l'armée d'Orient l'évacuation de l'Égypte l'ordonnateur en chef Lesbeh lettre mamelouks MENOU AU GÉNÉRAL ment Moniteur universel Mourad bey Mustapha Pacha négociations nivôse an VIII officiers Ordre du jour Osmanlis ottomane Pajol payer payeur général Pièces relat Poussielgue prairial an VIII Premier Consul province république Rosette Salahieh septembre 1799 sera seront Sidney Smith sir Sidney Smith soldats Sublime Porte Syrie tion troupes Turcs vendém vendémiaire an VIII ventôse an VIII VIII 22 villages vizir
Fréquemment cités
Page v - Le nom de l'éditeur sera placé à la tête de chaque volume. Aucun volume ne pourra paraître sous le nom de la Société sans l'autorisation du Conseil, et s'il n'est accompagné d'une déclaration du Commissaire responsable, portant que le travail lui a paru mériter d'être publié. Le Commissaire responsable soussigné déclare que l'édition des MÉMOIRES DU MARÉCHAL DE BASSOMPIERRE , préparée par M.
Page v - ART. 14. Le Conseil désigne les ouvrages à publier, et choisit les personnes les plus capables d'en préparer et d'en suivre la publication. Il nomme, pour chaque ouvrage à publier, un Commissaire responsable, chargé d'en surveiller l'exécution. Le nom de l'éditeur sera placé en tête de chaque volume.
Page 80 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.
Page 83 - Si ces conditions préliminaires et sommaires » étaient acceptées , je croirais avoir fait plus » pour la patrie qu'en obtenant la plus éclatante «victoire; mais je doute que l'on veuille prêter » l'oreille à ces dispositions. Si l'orgueil des Turcs » ne s'y opposait pas , j'aurais à combattre l'in«fluence des Anglais : dans tous les cas, je me » guiderai d'après les circonstances.
Page 84 - Dans k détresse où je me trouve , et trop éloigné du centre des mouvemens , je ne puis guère m'occuper que du salut et de l'honneur de l'armée que je commande ; heureux si, dans mes sollicitudes, je réussis à remplir vos vœux ! plus rapproché de vous, je...
Page 251 - D'après cela, toutes conférences ultérieures entre nos commissaires deviennent inutiles, et les deux armées doivent, dès cet instant, se considérer comme en état de guerre. La loyauté que j'ai apportée...
Page 84 - Il nous a renvoyé , ces jours «derniers, un soldat de la a5e demi-brigade, fait «prisonnier au fort d'El-Arisch, après lui avoir » fait voir tout le camp ; il lui a intimé de dire » à ses compagnons ce qu'il avait vu , et à leur » général de trembler. Ceci paraît annoncer ou la » confiance que le grand visir met dans ses forces, »ou un désir de rapprochement.
Page 8 - Des motifs impérieux ont déterminé le général en chef Bonaparte à passer en France. Les dangers que présente une navigation entreprise dans une saison peu favorable, sur une mer étroite et couverte d'ennemis, n'ont pu l'arrêter ; il s'agissait de votre bien-être. Soldats, un puissant secours va vous arriver ; ou bien une paix glorieuse, une paix digne de vous et de vos travaux, va vous ramener dans votre patrie.
Page 7 - L'intérêt de la patrie, sa gloire, l'obéissance, les événements extraordinaires qui viennent de s'y passer, me décident seuls à passer au milieu des escadres ennemies pour me rendre en Europe.
Page 77 - France, le 6 fructidor au matin, sans en avoir prévenu personne : il m'avait donné rendezvous à Rosette, le 7 ; je n'y ai trouvé que ses dépêches. Dans l'incertitude si le général a eu le bonheur de passer, je crois devoir vous envoyer copie, et de la lettre par laquelle il me donne le commandement de l'armée, et de celle qu'il adresse au grand visir à Constantinople, quoiqu'il sût parfaitement que ce pacha était déjà arrivé à Damas.