Macmillan's progressive French reader. First (Second) year, Livre 2

Couverture
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 110 - N'est-il pas vrai que celui qui l'a fait est bien fat? — Sire, il n'ya pas moyen de lui donner un autre nom.
Page 106 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez; si vous êtes hors de vous-même; si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison : nous en avons fait autant que vous. Adieu ! les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page 119 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 120 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 161 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vous avez su me plaire. Vous n'êtes point sans doute* un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier. Laissez là cet habit, quittez ce vil métier. Je veux vous faire part de toutes mes richesses. Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 141 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 141 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux les jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère ; Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore ? Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 118 - Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir, Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait venir Le chanteur et lui dit : Or ça, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an! ma foi, monsieur...
Page 115 - Je ne puis me résoudre à la dire , devinez-la , je vous le donne en trois; jetez-vous votre langue aux chiens1? Hé bien! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix , je vous le donne en cent.
Page 110 - ... la plus brillante, la plus digne d'envie ; enfin une chose dont on ne trouve qu'un exemple dans les siècles passés ; encore cet exemple n'est-il pas juste ; une chose que nous ne...

Informations bibliographiques