 | Voltaire - 1808 - 396 pages
...retrouva un reste de force pour embrasser ses genoux, et pour lui dire ces propres paroles : Sire, j ai assez vécu; je ne souhaitais de vivre aujourd'hui que pour voir votre majesté victorieuse. Vous voyez, ajouta-t-il ensuite, à quoi tiennent les batailles. Le roi le releva et l'embrassa tendrement.... | |
 | François Marie Arouet de [prose] Voltaire - 1809 - 528 pages
...Jit porter vers le roi j il- retrouva un reste de force pour embrasser set genoux , et pour lui dip6 ces propres paroles : „ Sire , j'ai assez vécu...souhaitais de „vivre aujourd'hui que pour voir votre ma* vjesté victorieuse. Vous voyez , ajouta -t • il, „ à quoi tiennent les batailles. " Le roi... | |
 | Voltaire - 1810 - 404 pages
...roi ; il retrouva un reste de force pour embrasser ses genoux, et pour lui dire ces proprés proles : Sire, jai assez vécu; je ne souhaitais de vivre aujourd'hui que pour voir votre majesté victorieuse. Vous voyez, ajouta-t-il ensuite, à quoi tiennent les batailles. Le roi le releva et l'embrassa tendrement.... | |
 | Anne-Henri Cabet vicomte de Dampmartin - 1810 - 464 pages
...serein au milieu de l'ivresse générale , embrasse et relève le maréchal de Saxe qui lui disoit : « Sire , j'ai assez vécu ; je ne souhaitais de » vivre aujourd'hui que pour voir votre ma» jesté victorieuse : vous voyez à quoi tiennent » les batailles. » Le monarque exprima de la... | |
 | Charles Gavard - 1811 - 312 pages
...BATAILLE. H. VERNET. — 1827. « te maréchal de Saxe, qui était malade, se fit porter vers le roi : «Sire, j'ai assez vécu; je ne souhaitais de «vivre aujourd'hui que pour voir votre majesté victo« rieuse. » Ce qui rend, dit Voltaire, cette bataille à jamais mémorable , c'est qu'elle fut... | |
 | René Jean DURDENT - 1814 - 438 pages
...les diverses nations. Au milieu des félicitations générales , le maréchal de Saxe dit au roi: ce Sire , j'ai assez » vécu; je ne souhaitais de vivre...aujourd'hui » que pour voir votre majesté victorieuse. M Et il ajouta aussitôt : « Vows voyez à quoi » tiennent leS' batailles ! » La perte des alliés... | |
 | Voltaire - 1817 - 496 pages
...traitât les ennemis comme ses propres sujets. Le maréchal de Saxe , au milieu de ce triomphe, se lit porter vers le roi; il retrouva un. reste de force...aujourd'hui que pour voir « votre majesté victorieuse. Vous voyez, ajouta-t-il «ensuite, à quoi tiennent les batailles». Le roi le releva et l'embrassa... | |
 | Voltaire - 1817 - 280 pages
...un reste de force pour embrasser ses genoux, et pour lui dire ces propies paroles : « Sire , j':ii assez vécu ; je ne « souhaitais de vivre aujourd'hui que pour voir « votre majesté victorieuse. Vous voyez, ajouta-t-il M ensuite, à quoi tiennent les batailles». Le roi le releva et l'embrassa... | |
 | Voltaire - 1820 - 490 pages
...oiïiciers-géncrauxetàtous les commandants des corps; il ordonna qu'on eût soin des blessés, et qu'on trnilâl les ennemis comme ses propres sujets. Le maréchal...vécu; je ne souhaitais » de vivre aujourd'hui que po ur voir votre majesté » victorieuse. Vous voyez , ajouta t -il ensuite , à w quoi tiennent les... | |
 | Voltaire - 1831 - 470 pages
...joie tumultueuse. Le roi était tranquille, témoignant sa satisfaction et sa reconnaissance à tous les officiers -généraux, et à tous les commandants...aujourd'hui que pour voir votre majesté « victorieuse. Vous voyez, ajouta-t-il ensuite, à quoi « tiennent les batailles. » Le roi le releva , et l'embrassa... | |
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... des corps; il ordonna qu'on eût soin des blessés, et qu'on traitât les ennemis comme ses propres sujets. Le maréchal de Saxe, au milieu de ce triomphe, se fit porter vers le roi; il retrouva un reste de force pour embrasser ses genoux , et pour... 
