Les lettres de Pline le jeune [tr. by L. de Sacy]. |
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Les lettres de Pline le jeune [tr. by L. de Sacy]. Pliny (the Younger) Affichage du livre entier - 1721 |
Expressions et termes fréquents
accufé Adieu affez affranchi ainfi ajoûtez amis auffi avez Avitus avoient avoit Bithinie c'eft C'eſt c'étoit caufe ceffe charge Chevalier Romain chofes choifi confeille conferver Confuls connoiffance Corellia coûtume De-là déja demande derniere Dieux difcours Domitien efclaves efprit enfuite eſt êtes étoient étoit falloit fans fanté fçai fçais fçavoir feconde felon femble fent fera feroit fervice fervir feulement fiens foient foin foit foldats fommes font fouhaite fouvent fuis fuite fuivant fujet fupplie grace Harpocras homme illuftre j'ai j'avois j'en jour jufqu'à jufte l'accufation l'Empereur Trajan laiffe LETTRE XXIII long-tems lorfque m'en Magiftrat mandez ment mille fefterces n'eft naiffance néceffaire Nicomédie ouvrage paffer paffion Pallas paroît particulierement perfonne plaider plaifir PLINE LE JEUNE plufieurs poffible pourtant pouvoit préfent premiere Préteur puiffe raifons refte refufer rien s'eft s'il Seigneur Sénat tems tendreffe Trajan à Pline très-cher Pline trouve x x x x x
Fréquemment cités
Page 358 - ... plus de trois ans, les autres depuis un plus grand nombre d'années, quelques-uns depuis plus de vingt. Tous ces gens-là ont adoré votre image et les Statues des dieux; tous ont chargé le Christ de malédictions.
Page 42 - Chacun s'y rétablit de son mieux, et nous y passons une nuit entre la crainte et l'espérance, mais où la crainte eut la meilleure part , car le tremblement de terre continuait. On ne voyait que gens effrayés entretenir leur crainte et celle des autres par de sinistres prédictions.
Page 38 - Nous prenons le parti de quitter la ville : le peuple épouvanté nous suit en foule, nous presse, nous pousse ; et ce qui dans la frayeur tient lieu de prudence , chacun ne croit rien de plus sûr que ce qu'il voit faire aux autres. Après que nous fûmes sortis de la ville, nous nous arrêtons; et là, nouveaux prodiges, nouvelles frayeurs. Les...
Page 360 - convaincus , il les faut punir ; si pourtant l'accusé nie «qu'il soit chrétien , et qu'il le prouve par sa conduite, je « veux dire en invoquant les dieux , il faut pardonner à son «repentir, de quelque soupçon qu'il 'ait été auparavant «chargé. Au reste, dans nul genre de crime, l'on ne doit «recevoir des dénonciations qui ne sont souscrites de per« sonne, car cela est d'un pernicieux exemple et très éloi«gné de nos maximes.