Éléments de littérature, Volume 2Verdière, 1825 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 333 - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
Page 276 - Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux ! Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachais au jour, je fuyais la lumière; La mort est le seul dieu que j'osais implorer.
Page 63 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Page 120 - Rome entière noyée au sang de ses enfants : Les uns assassinés dans les places publiques, Les autres dans le sein de leurs dieux domestiques; Le méchant par le prix au crime encouragé; Le mari par sa femme en son lit égorgé; Le fils tout dégouttant du meurtre de son père. Et sa tête à la main demandant son salaire, Sans pouvoir exprimer par tant d'horribles traits Qu'un crayon imparfait de leur sanglante paix.
Page 427 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 325 - Ses superbes coursiers, qu'on voyait autrefois Pleins d'une ardeur si noble obéir à sa voix, L'œil morne maintenant et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée.
Page 325 - Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux. Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 86 - Je le donne à Vénus, puisqu'elle est toujours belle; II redouble trop mes ennuis. Je ne saurais me voir dans ce miroir fidèle, Ni telle que j'étais, ni telle que je suis.
Page 147 - J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime, Innocente à mes yeux, je m'approuve moi-même, Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison.
Page 372 - Ils sont ensevelis sous la masse pesante Des monts qu'ils entassaient pour attaquer les cieux. Nous avons vu tomber leur chef audacieux Sous une montagne brûlante : Jupiter l'a contraint de vomir à nos yeux Les restes enflammés de sa rage mourante ; Jupiter est victorieux, Et tout cède à l'effort de sa main foudroyante.