Dictionnaire historique d'éducation, où, sans donner de préceptes, on se propose d'exercer & d'enrichir toutes les facultés de l'âme & de l'esprit, en substituant les exemples aux leçons, les faits aux raisonnemens, la pratique à la théorie ...Vincent, 1771 - 703 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Dictionnaire historique d'éducation, où, sans donner de préceptes ..., Volume 1 Jean Jacques Fillassier Affichage du livre entier - 1784 |
Dictionnaire Historique D'Éducation: Où, sans donner de préceptes ..., Volume 1 Jean-Jacques Fillassier Affichage du livre entier - 1771 |
Dictionnaire historique d'education, où, Sans donner de préceptes ..., Volume 1 Jean-Jacques Fillassier Affichage du livre entier - 1784 |
Expressions et termes fréquents
affez affuré ainfi ajoûta alloit Athènes Athéniens auffi auffi-tôt avoient avoit ayant befoin c'eft c'eſt c'étoit Caton d'Utique caufe ceffe chaffe chofe citoyens cœur confeil confidérable courage deffein déja demanda devoit Dieu difant difcours difoit dit-il donner efprit enfans enfuite ennemis eſt étoient étoit eût fage faifant faifoit faint falut fans fçavoit fecours fecret feigneur femme fénat fentiment feroit fervice fervir fes amis feul fiécle fiége foin foit foldats fomme fon fils fon pere fous fouvent fuccès fuis fuivi fujet fur-tout grace homme jeune jour jufqu'à juftice l'Empereur Lacédémone laiffer long-tems lorfqu'il lorfque Louis Louis XIV main maiſon maître maniere Monarque mort n'avoit n'eft officiers paffer paffion patrie Pélopidas Perfes perfonne peuple philofophe Phocion plaifir plufieurs pouvoit préfent premiere préſence prifonniers Prince prit refpect refte refufa répondit réponſe Romains ſes Socrate ſon Sparte tems troupes tyran venoit vouloit Xerxès
Fréquemment cités
Page 100 - Je n'aurai point l'honneur d'y aller, lui répondit-il ; il ya plus de huit jours que je n'ai vu ma femme et mes enfants, qui se font une fête de manger aujourd'hui avec moi une très belle carpe ; je ne puis me dispenser de dîner avec eux.
Page 712 - Il monte sur un bateau, gagne à force de rames le milieu du fleuve, aborde, attend au bas de la pile que toute la famille, père, mère, enfants & vieillards, se glissant le long d'une corde, soient descendus dans le bateau. Courage, dit-il, vous voilà sauvés.
Page 248 - Monfieur , lui dit d'Aubigné , je viens me remettre entre vos mains, conformément à la parole que je vous en avois donnée , & parce que d'ailleurs , fi je ne l'avois pas tenue, je vous aurois compromis avec une Cour foupçonneufe & cruelle : je fais que ma mort y eft réfolue ; mes ennemis fatisferont leur haîne 5 j'aurai fatisfait à ce que je devois à l'honneur & à la reconnoiflance.
Page 90 - Nilhisdale disparut , et arriva à trois heures du matin à Calais. En mettant pied à terre , il fit un saut , en s'écriant : « Vive Jésus ! me voilà sauvé ! » Ce transport le décéla ; mais il n'étoit plus au pouvoir de ses ennemis.
Page 712 - Spolverini propofe une bourfe de cent louis à celui qui aura le courage d'aller fur un bateau délivrer ces malheureux. Il y avoit à courir le danger d'être emporté par la rapidité du fleuve, ou de voir, en abordant au-deflbus de la maifon , crouler fur foi l'arcade ruinée : le concours du peuple étoit innombrable , & perfonne n'ofoit s'offrir.
Page 57 - Céfar; & il envoya quelques perfonnes de fa cour pour lui en faire des reproches. Le Prince ne répondit rien à cette remontrance; mais il pria les députés de l'empereur de demeurer quelque tems...
Page 357 - Je fuis trop criminelle, puifque je » fuis deshonorée : je vous demande ma mort comme « une grâce , & pour m'empêcher de furvivre à ma » honte & à mon deshonneur. » Le Régent, quoiqu'outré de douleur , lui dit qu'une faute involontaire étoit plutôt un malheur qu'un crime , & que la violence , qu'on avoit faite à fon corps...
Page 491 - A ces paroles, le mari et toute la compagnie ne purent retenir de grands éclats de rire; la dame elle-même, malgré...
Page 439 - Nord, dont la vivacité faifoit le principal caractère , demanda un jour à un ambafladeur dlAngleterre , s'il harangueroit le peuple , en cas qu'on le pendît , ou qu'on lui tranchât la tête ? Le miniftre , fans fe déconcerter , répondit qu'il avoit toujours fon difcours prêt , & fes gants blancs dans fa poche. « Je voudrois bien vous entendre ,
Page 83 - Ah ! je me connois maintenant, dit-il , et j'éprouve sensiblement que j'ai deux âmes , l'une qui me porte au bien , l'autre qui m'entraîne vers le mal. La première l'emporte quand vous venez à mon secours et que vous me parlez : je cède à l'autre et je suis vaincu quand je suis seul.