An Introduction to the French Language: Containing Fables, Select Tales, Remarkable Facts, Amusing Anecdotes, &c., with a Dictionary of All the Words, Translated Into EnglishD. Appleton & Company, 1851 - 142 pages |
Autres éditions - Tout afficher
An Introduction to the French Language: Containing Fables, Select Tales ... M. de Fivas (Alain Auguste Victor) Affichage du livre entier - 1846 |
An Introduction to the French Language: Containing Fables, Select Tales ... M. de Fivas (Alain Auguste Victor) Affichage du livre entier - 1854 |
An Introduction to the French Language: Containing Fables, Select Tales ... M. de Fivas (Alain Auguste Victor) Affichage du livre entier - 1850 |
Expressions et termes fréquents
arrive assez aurait avant avez ayant beau belle bientôt bord c'était cause cents charge chemin chercher chère cheval chien chose cond côté coup cour d'or demanda devant Dieu dire dit-il donner enfants enfin faisait femme ferai fils fleurs fort général haut heureux homme j'ai j'avais j'étais Jean jeter jeune JOAS jouer jour juge l'autre l'un laisser lieu livres main maison malheur manger marcher Marie ment mère mieux mille monde monsieur monter montre mort mourir n'avait n'en noirs nouvelle parler passer past pauvre pays pendant penser père personne petit petits pièces pieds place porte pouvais premier prep pres présent pret pris pron qu'un quatre rapport répondit reprit reste riche rien s. m. pl s'il sais savait serait servir seul soldat sorte table tenir terre tête tire tomber trouva venir ville voilà voulait voyage voyais yeux Zadig
Fréquemment cités
Page 60 - Que faisiez-vous au temps chaud?' Dit-elle à cette emprunteuse. 'Nuit et jour, à tout venant, Je chantais, ne vous déplaise.' — 'Vous chantiez? J'en suis fort aise. Eh bien, dansez maintenant!
Page 104 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Page 104 - J'ai mon Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants dieux. JOAs. Il faut craindre le mien ; Lui seul est Dieu, madame, et le vôtre n'est rien.
Page 60 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 83 - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.
Page 104 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin , Éliacin , vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez , je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 61 - Chaldéens, il n'ignorait pas les principes physiques de la nature tels qu'on les connaissait alors, et savait de la métaphysique ce qu'on en a su dans tous les âges, c'est-à-dire fort peu de chose.
Page 103 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 11 - Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviea^ dront ma femme et mes enfants? » Et cette pensée ne le quittait point, et elle rongeait son cœur comme un ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien que la même pensée fût venue également à l'autre père, il ne s'y était point arrêté : « Car, disait-il, Dieu, qui connaît toutes ses créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme, et sur mes enfants.
Page 10 - Deux hommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétait en luimême, disant : Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfants...