Histoire nationale de la littérature française...: origines... gaulois, gallo-romains, gallo-francs, gallo-bretons...Ducrocq, 1870 - 449 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire nationale de la littérature française...: origines... gaulois ... Émile Chasles Affichage du livre entier - 1870 |
Histoire nationale de la littérature française...: origines... gaulois ... Émile Chasles Affichage du livre entier - 1870 |
Expressions et termes fréquents
abbé Agobard Alcuin Ausone barbares bardes Belloguet Bretagne Bretons Caligula célèbre César chants Charlemagne Charles Charles le Chauve chefs choses chrétiens christianisme cinquième siècle civilisation Cornelius Gallus coup d'or Dieu disciples dit-il dixième siècle donne druides druidique écoles écrit écrivains enfants Ermold le Noir esprit évêque femme Flodoard Florus Fortunat Frédégonde Gallo-Bretons gallo-romaine Gallus Gaule Gaulois génie Gerbert Germains grec Grégoire de Tours guerre histoire hommes jour l'âme l'Église l'éloquence l'empereur l'empire l'esprit l'évêque l'histoire latin légende Lérins lettres Lez Breiz littérature livre Lyon main maître Marcus Aper Marseille ment Merlin Midi milieu monde morale mort nation Nord œuvres païenne parle paroles passé passion Paulin pays pensée père peuple philosophie poëme poésie poëte politique race raconte Reims religieuse rhéteur rois Romains Rome saint Avite saint Martin Saint-Gall savants Saxons science Scot Seigneur seul Strabon Sulpice Sévère terre tion tour à tour trait Trèves καὶ τὴν τὸ τῶν
Fréquemment cités
Page 156 - ... petite en nombre, mais brave et forte, secoua de sa tête le dur joug des Romains, et qui, après avoir reconnu la sainteté du baptême, orna somptueusement d'or et de pierres précieuses les corps des saints martyrs que les Romains avaient brûlés par le feu, massacrés , mutilés par le fer, ou fait déchirer par les bêtes.
Page 156 - ... convertie à la foi catholique, libre d'hérésie; lorsqu'elle était encore sous une croyance barbare, avec l'inspiration de Dieu , recherchant la clef de la science ; selon la nature de ses qualités , désirant la justice; gardant la piété ; la loi salique fut dictée par les chefs de cette nation, qui en ce temps commandaient chez elle.
Page 155 - forte sous les armes , ferme dans les traités de paix , profonde « en conseil , noble et saine de corps, d'une blancheur et d'une
Page 140 - J'ai presque vu deux fois la lune achever son cours , et n'ai « obtenu qu'une seule audience : le maître de ces lieux trouve « peu de loisirs pour moi ; car l'univers entier demande aussi « réponse et l'attend avec soumission. Ici, nous voyons le u Saxon aux yeux bleus, intrépide sur les flots, mal à l'aise
Page 6 - Il ne faut pas faire à l'éloquence le tort de penser qu'elle n'est qu'un art frivole, dont un déclamateur se sert pour imposer à la faible imagination de la multitude, et pour trafiquer de la parole. C'est un art...
Page 156 - Vive le Christ, qui aime les Francs ! Qu'il garde leur royaume et remplisse leurs chefs -de la lumière de sa grâce! qu'il protège l'armée , qu'il leur accorde des signes qui attestent leur foi , la joie de la paix et la félicité!
Page 224 - Aussi la nation franque brillait-elle aux yeux du monde entier. Les royaumes étrangers , les Grecs , les Barbares et le sénat du Latium lui adressaient des ambassades. La race de Romulus, Rome elle-même, la mère des royaumes, s'était soumise à cette nation ; c'était là que son chef, soutenu de l'appui du Christ, avait reçu le diadème par le don apostolique. Heureux s'il eût connu son bonheur, l'empire qui avait Rome pour citadelle, et le porte-clef du ciel pour fondateur!
Page 217 - Deux fois seulement, dans les séjours qu'il fit à Rome , d'abord à la prière du pape Adrien , ensuite sur les instances de Léon , successeur de ce pontife , il consentit à prendre la longue tunique , la chlamyde et la chaussure romaine.
Page 276 - Que diraije de ses bottines ? toute l'armée était accoutumée à les porter constamment de fer ; sur son bouclier on ne voyait que du fer. Son cheval avait la couleur et la force du. fer. Tous ceux qui précédaient le monarque , tous ceux qui marchaient à ses côtés , tous ceux qui le suivaient , tout le gros même de l'armée , avaient des armures semblables, autant que les moyens de chacun le permettaient. Le fer couvrait les champs et les grands chemins. Les pointes du fer réfléchissaient...
Page iv - C'est un beau spectacle que celui des lois féodales. Un chêne antique s'élève ' ; l'œil en voit de loin les feuillages : il approche ; il en voit la tige , mais il n'en aperçoit point les racines : il faut percer la terre pour les trouver.