Souvenirs de France et d'Italie dans les années 1830,1831 et 1832E. Dentu, 1861 - 454 pages |
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Souvenirs de France et d'Italie dans les années 1830,1831 et 1832 Francois de Sales Marie Joseph Louis Estourmel (comte d') Affichage du livre entier - 1861 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 256 - Hoc erat in votis : modus agri non ita magnus, Hortus ubi et tecto vicinus jugis aquae fons Et paulum silvae super his foret. Auctius atque Di melius fecere. Bene est. Nil amplius oro, Maia nate, nisi ut propria haec mihi munera faxis.
Page 240 - Ce tableau divisé par colonnes devra indiquer : 1° le nom de la demoiselle; 2° son âge bien certain; 3° les noms de ses pèreetmère; 4° leurs qualités anciennes et leur état actuel; 5°...
Page 319 - ... être réunis ailleurs. Ce respect pour les morts , fruit d'une erreur grossière , Touchait peu , je le sais , une froide poussière , Qui tôt ou tard s'envole , éparse au gré des vents , Et qui n'a plus enfin de nom chez les vivants.
Page 239 - Pour suppléer au défaut de ces renseignements que je désire avoir, notamment pour ce qui est relatif aux demoiselles de famille dans l'âge de quatorze ans et au-dessus, je vous invite à former le tableau nominatif des plus riches héritières non encore mariées.
Page 66 - joue le principal rôle dans les entreprises littéraires ; » le talent ne sait plus vivre pauvre comme au beau siècle, » et je crains (c'est toujours mon correspondant qui parle)
Page 319 - Sur l'urne où reposaient les restes précieux. Ce respect pour les morts, fruit d'une erreur grossière, Touchait peu, je le sais, une froide poussière Qui tôt ou tard s'envole éparse au gré des vents, Et qui n'a plus enfin de nom chez les vivants ; Mais ces tristes honneurs, ces funèbres hommages, Ramenaient les regards sur de chères images ; Le cœur près des tombeaux tressaillait ranimé, Et l'on aimait encor ce qu'on avait aimé. Je l'éprouve moi-même : oui, cent fois, à la vue...
Page 170 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies; Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. Athalie. Hé quoi? Vous n'avez point de passe-temps plus doux?
Page 135 - ... du pied et la longue diète qu'on m'a fait faire, j'ai besoin de quelqu'un qui veille à me faire soigner et à ma dépense. Cependant, je vous le répète, ne quittez votre emploi que dans le cas où vous seriez résolu à courir les risques de le perdre. Vous pourrez vivre ici fort à voire aise avec moi, quand même je vivrais encore un an.
Page 240 - Vous comprenez facilement, Monsieur, combien vos « recherches doivent être soignées et avec quelle prudence et « discrétion vous devez vous y livrer, et vous y mettrez « d'autant plus d'empressement que vous sentirez que le «. résultat de votre travail ne peut tourner qu'à l'avantage « de chaque famille. « Je vous invite à ne rien négliger pour satisfaire, dans le « plus bref délai, à la demande que je vous fais.
Page 135 - Antoine, un de mes amis : l'une de quatre vingts louis, l'autre de cinquante et quelques louis. Si je meurs, il est chargé de payer mes dettes là-dessus, et toutes mes dettes possibles ne montent pas maintenant à douze cents livres. En outre, il y aura mes meubles...