Revue d'histoire littéraire de la France, Volume 28Maurice Tourneux A. Colin, 1921 |
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Revue d'histoire littéraire de la France, Volumes 25 à 26 Maurice Tourneux Affichage du livre entier - 1918 |
Revue d'histoire littéraire de la France, Volumes 9 à 10 Maurice Tourneux Affichage du livre entier - 1902 |
Revue d'histoire littéraire de la France, Volumes 7 à 8 Maurice Tourneux Affichage du livre entier - 1900 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 491 - L'enveloppe ; étonnée, et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots. Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine ! Son beau corps a roulé sous la vague marine.
Page 367 - Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres que ce que l'on se doit à soi-même : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens que ce qui nous en distingue.
Page 498 - ... dans lesquelles il ne s'insinue toujours un peu de lumière. Une teinte singulièrement harmonieuse marie la terre, le ciel et les eaux : toutes les surfaces, au moyen d'une gradation insensible de couleurs, s'unissent par leurs extrémités, sans qu'on puisse déterminer le point où une nuance finit et où l'autre commence.
Page 26 - Manassé Dont le pays fertile à sa droite est placé ; Vers le Midi, Juda, grand et stérile, étale Ses sables où s'endort la mer occidentale ; Plus loin, dans un vallon que le soir a pâli, Couronné d'oliviers, se montre Nephtali ; Dans des...
Page 490 - André voulait encadrer l'image ainsi : « On peut faire un petit quadro d'un jeune enfant assis sur le bord de la mer, sous un joli paysage. Il jouera sur deux flûtes : Deux flûtes sur sa bouche, aux antres, aux Naïades, Aux Faunes, aux Sylvains, aux belles Oréades, Répètent des amours Et les dauphins accourent vers lui.
Page 384 - Et pour ce qu'ils n'estiment rien de plus grand que de faire du bien aux autres hommes et de mépriser son propre intérêt pour ce sujet, ils sont toujours parfaitement courtois, affables et officieux envers un chacun.
Page 487 - Nous ne cherchons ni la raison ni le vrai en rien : mais, après que nous avons choisi quelque chose par notre humeur, ou plutôt que nous nous y sommes laissé entraîner, nous trouvons des raisons pour appuyer notre choix. Nous voulons nous persuader que nous faisons par modération ce que nous faisons par paresse. Nous appelons souvent retenue ce qui en effet est timidité, ou courage ce qui est orgueil et présomption, ou prudence et circonspection ce qui n'est qu'une basse complaisance.
Page 498 - Rien n'est comparable pour la beauté aux lignes de l'horizon romain, à la douce inclinaison des plans, aux contours suaves et fuyants des montagnes qui le terminent. Souvent les vallées dans la campagne prennent la forme d'une arène, d'un cirque, d'un hippodrome; les coteaux sont taillés en terrasses, comme si la main puissante des Romains avait remué toute cette terre.
Page 368 - Ainsi tout le dessein d'un poète, toute la fin de son travail, c'est qu'on soit, comme son héros, épris des belles personnes, qu'on les serve comme des divinités ; en un mot , qu'on leur sacrifie tout , si ce n'est peut-être la gloire , dont l'amour est plus dangereux que celui de la beauté même.
Page 498 - ... toujours un peu de lumière. Une teinte singulièrement harmonieuse marie la terre, le ciel et les eaux : toutes les surfaces, au moyen d'une gradation insensible de couleurs, s'unissent par leurs extrémités, sans qu'on puisse déterminer le point où une nuance finit et où l'autre commence. Vous avez sans doute admiré dans les paysages de Claude Lorrain cette lumière qui semble idéale et plus belle que nature? Eh bien, c'est la lumière de Rome...