Histoire du tabac: ou il est traité particulierement du tabac en poudreChez M. Le Prest, 1677 - 172 pages |
Expressions et termes fréquents
adou affez ainfi apophyfes arteres ARTI auffi bouche c'eft c'eſt carotides caufe cavité celuy cerveau chofes cœur Comte d'Armagnac conferve confiftence d'vn d'vne defcription differentes diftila dure-mere efpeces efprits efté eftre enfuite eſt êtant exterieure fang fans fe porte fecher feconde felon femblable fent feparé ferofité ferofitez fert fervir fes effets feuilles feule fibres fleurs foient foit Foix font forte fouvent fuivant fumée du Tabac fyrops Gingembre glande Glande lacrymale gofier goutes groffes humeurs interieure jufqu'à l'eau l'efprit l'éternuë l'os cribleux l'vne laiffe laiffent larynx mammillaires matiere Medecin mefme membrane membranes pituitaires memoire ment mentation n'eft neantmoins neceffaire noftre paffage paffe parfum penetre pituite plufieurs pores poûmon pourquoy Prade preffe premiere preparé ption quoy raifons Tabac en poudre tefte tion toûjours troifiéme vaiffeaux veines ventricules verfes vfage vlceres vne once voye vtile
Fréquemment cités
Page 171 - Roy de France & de Navarre : A nos amez & féaux Confeillers les Gens tenans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes...
Page 7 - Thevet a difputé à Nicot la gloire d'avoir donné le tabac à la France; & c'eft fans conteftation que François Drack, fameux capitaine anglois, qui conquit la Virginie, en enrichit fon pays.
Page 172 - CAUSES, defirant favorablement traiter l'Expofant , Nous luy avons permis & permettons par ces prefentes d'Imprimer ou faire Imprimer ledit Livre...
Page 7 - Tabac eft originaire d'Europe : & qu'avant la découverte du Nouveau Monde , on en trouva diverfes plantes dans les Artlennes.
Page 112 - ... de soie ou de crin plus ou moins fins , selon qu'on désire le grain du tabac ou plus gros ou plus menu. » Ensuite on verse ce tabac en poudre dans une quantité suffisante d'eau de fleurs d'oranger et une huitième partie d'eau commune filtrée...
Page 23 - On s'en fertpar precau-» tion & par befbin dans le mal même. En toutes les formes que la Médecine luy peut donner , & de quelque façon qu'il foit donné , il agit avec autant de force que de promptitude , par fes parties les plus fubtiles, qui fui vent toujours le cours du fang, M Ais comme il eft im- VI.AR.
Page 42 - Qn répond à la première tion de » -loi que les ventricules, & les apophyfes mammillaires n'ont point d'ouverture vers les narines : que les les trous de l'os cribleux , comme onadêjadit,aboutiflent au palais pluftoft qu'au nez : Que les membranes& les fibres nerveux, qui bouchent ces trous...