Oeuvres complètes de Rollin, Volume 3F. Didot, 1821 |
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Oeuvres complètes de Rollin: avec dotes et éclaircissements sur ..., Volume 3 Charles Rollin Affichage du livre entier - 1845 |
Expressions et termes fréquents
affaires Alcibiade alliés Aristide armée arriva Artaxerxe assiégés Athé Athènes Athéniens attaquer avaient ayant Barbares bataille Brasidas c'était Callicratidas cent Cimon citoyens combat commandement contrevallation côté courage Cyrus d'Alcibiade d'Aristide d'Athènes d'autres Darius déja demander députés dessein dieux Diod donner ennemis envoya faisait firent flotte force fût galères Gélon général gloire gouvernement grace Grèce guerre du Péloponnèse Gylippe Herod Hérodote Hist jour l'armée l'Attique l'avait l'Hellespont l'île Lacédémone Lacédémoniens laisser Lysandre maître Mardonius ment mille hommes Miltiade mort n'avait n'était Nicias niens nombre occasion passer patrie Pausanias pays père Périclès Perses personne peuple Plut Plutarque porter Potidée pour-lors pouvait premier prince rendit rendre république reste révolte rien s'était sage Salamine Samos Sardes Scythes secours sentiment seul Sicile soldats songe sorte Sparte Spartiates succès sur-tout Syracusains Syracuse talents temple terre Thémistocle Thrace Thucyd Thucydide Tissapherne traité troupes trouva vaisseaux venir victoire voyant Xerxès καὶ
Fréquemment cités
Page 388 - Le rempart le plus sûr d'un état est la justice, la modération, la bonne foi, et l'assurance où sont vos voisins que vous êtes incapable d'usurper leurs terres.
Page 261 - Vouloir examiner tout par soi-même, c'est défiance, c'est petitesse; c'est se livrer à une jalousie pour les détails, qui consume le temps et la liberté d'esprit nécessaires pour les grandes choses. Pour former de grands desseins, il faut avoir l'esprit libre et reposé; il faut penser à son aise dans un entier dégagement de toutes les expéditions d'affaires épineuses.
Page 233 - abrégé et fixé le temps à soixante-dix semaines en faveur de » votre peuple et de votre ville sainte, afin que les prévarications soient abolies, que le péché trouve sa fin, que l'iniquité soit effacée, que la justice éternelle vienne sur la terre, que les visions et les prophéties soient accomplies, et que le Saint des saints soit oint de l'huile sacrée.
Page 96 - Cet aveu, bien loin de paraître une faiblesse dans un roi, fut regardé par tous les Salentins comme l'effort d'une grande âme qui s'élève au-dessus de ses propres fautes, en les avouant avec courage pour les réparer.
Page 484 - Quand leurs chefs ont déposé leurs armes et se sont rendus à nous, n'était-ce pas dans l'espérance de conserver leur vie ? Et pouvons-nous la leur ôter, sans encourir le juste reproche d'avoir violé le droit des gens, et d'avoir déshonoré notre victoire par une barbare cruauté ? Quoi ! vous souffrirez que votre gloire soit ainsi flétrie dans tout l'univers, et qu'on dise qu'un peuple qui, le premier, a dans sa ville érigé un temple à la Miséricorde, n'en a point trouvé dans la vôtre...
Page 233 - ... l'abomination de la désolation sera dans le temple, et la désolation durera jusqu'à la consommation et jusqu'à la fin.
Page 297 - Toute l'Egypte parut inconsolable dans cette perte ; chaque famille croyait avoir perdu son meilleur ami, son protecteur, son père.
Page 319 - Athen. i. 10, porte qu'une fois, ayant parcouru toute la longueur du p" ' * stade portant sur ses épaules un taureau de quatre ans, il l'assomma d'un coup de poing, et le mangea tout entier dans la journée.
Page 66 - ... liants ; et aujourd'hui que je les ai abandonnées à tous « ces voleurs publics, je suis un homme admirable et « le meilleur des citoyens! Je vous déclare donc que j'ai « plus de honte de l'honneur que vous me faites en ce «jour, que je n'en eus l'an passé de la condamnation « que vous prononçâtes contre moi ; et je vois avec « douleur qu'il est plus glorieux ici d'user de complai« sance envers les méchants, que de ménager et de con« server les biens de la république.
Page 64 - ... jeunesse, après la bataille de Marathon, gagnée par les Athéniens sur les barbares, entendant vanter partout les exploits de Miltiade, il restait souvent pensif et rêveur, passait les nuits sans dormir, et ne fréquentait plus les festins publics : lorsque ses amis, surpris de ce changement de vie, lui en demandaient la raison, il leur répondait que les trophées de Miltiade lui ôtaient le sommeil.