Hugues Capet et la troisième race: jusqu'à Philippe-Auguste ...Charpentier, 1845 - 455 pages |
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Hugues Capet et l troisième race, Volume 1 Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) Affichage du livre entier - 1845 |
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Hugues Capet et la troisième race: jusqu'à Philippe-Auguste ... Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) Affichage du livre entier - 1839 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 363 - Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi , n'est pas digne de moi ; et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi , n'est pas digne de moi.
Page 294 - I. 25. y demander l'hospitalité avec sa femme , et se reposa quelques instants ; mais en jetant les yeux sur tous les coins de la cabane , il y vit des têtes d'hommes , de femmes et d'enfants. Aussitôt il se trouble, il pâlit; il veut sortir, mais son hôte cruel s'y oppose, et prétend le retenir malgré lui. La crainte de la...
Page 294 - On essaya, dans la même province, un moyen dont nous ne croyons pas qu'on se fût jamais avisé ailleurs. Beaucoup de personnes mêlaient une terre blanche, semblable à l'argile, avec ce qu'elles avaient de farine ou de son , et elles en formaient des pains pour satisfaire leur faim cruelle. C'était le seul Espoir qui leur restât d'échapper à la mort , et le succès ne répondit pas à leurs vœux. Tous les visages étaient pâles et décharnés, la peau tendue et enflée, la voix grêle ,...
Page 293 - ... consacré , que de se nourrir de chair humaine : et un misérable osa même en porter au marché de Tournus, pour la vendre cuite, comme celle des animaux. Il fut arrêté , et ne chercha pas à nier son crime ; on le garotta, on le jeta dans les flammes.
Page 360 - Et quiconque aura quitté pour mon nom sa maison, ou ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, en recevra le centuple, et aura pour héritage la vie éternelle.
Page 293 - Hélas! devons-nous le croire? les fureurs de la faim renouvelèrent ces exemples d'atrocité si rares dans l'histoire, et les hommes dévorèrent la chair des hommes. Le voyageur, assailli sur la route, succombait sous les coups de ses agresseurs ; ses membres étaient déchirés, grillés au feu, et dévorés. D'autres, fuyant leur pays pour fuir aussi la famine, recevaient l'hospitalité sur les chemins, et leurs hôtes les égorgeaient la nuit pour en faire leur nourriture. Quelques autres présentaient...
Page 294 - Le grand nombre de morts ne permettait pas de songer à leur sépulture ; et les loups , attirés depuis longtemps par l'odeur des cadavres, venaient enfin déchirer leur proie. Comme on ne pouvait donner à tous les morts une sépulture particulière , à cause de leur grand nombre, des hommes pleins de la grâce de Dieu creusèrent dans quelques endroits des fosses, communément nommées charniers, où l'on jetait cinq cents corps , et quelquefois plus quand ils pouvaient en contenir davantage....
Page 158 - ... de la mer, refoule l'air et le force à se réfugier dans les entrailles de la terre , d'où il s'échappe ensuite comme il peut dans l'espace , sous la forme d'une vapeur enflammée. Car, de même que l'air est destiné, par sa nature, à circuler dans les régions élevées, de même aussi il subit alternativement les lois des deux élémens qui composent son essence, l'eau et le feu.
Page 359 - Seigneur a accordé, par-dessus toutes les autres nations, l'insigne gloire des armes , la grandeur de l'âme , l'agilité du corps et la force d'abaisser la tête de ceux qui vous résistent? Que vos cœurs s'émeuvent et que vos âmes s'excitent au courage par les faits de vos ancêtres...
Page 387 - Jean-Bap« tiste, laquelle, ajoute-t-il (quoique ce ne soit qu'une « fausseté), est encore aujourd'hui recouverte de la « peau et des cheveux , et ressemble à une tête de ,« vivant.?> Si cette assertion était vraie, il faudrait donc demander aux moines de...