Histoire de la vie politique et privée de Louis-Philippe, Volume 2Dufour et Mulat, 1852 - 320 pages |
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Histoire de la vie politique et privée de Louis-Philippe: Tome deuxième Alexandre Dumas Affichage du livre entier - 1852 |
Histoire de la vie politique et privée de Louis-Philippe, Volume 2 Alexandre Dumas Affichage du livre entier - 1852 |
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Expressions et termes fréquents
accusés Alibaud Arago Armand Carrel arrive avaient baïonnette banquet Barbès barricades Blaye blessés boulevard Bugeaud c'était Casimir Périer cent chambre des pairs Charles Charles X chose cinq citoyens commandant comte convoi Cormenin coup déclare demande Deneux députés Deutz devant dit-il drapeau duc d'Orléans duc de Nemours duchesse d'Orléans duchesse de Berry Dupont de l'Eure février Fieschi fils force foule fusil garde nationale Garnier-Pagès général Gouvernement provisoire guerre Guizot heures homme j'ai jour juillet l'Angleterre l'Hôtel-de-Ville l'opposition Laffitte laisser Lamartine Ledru-Rollin lettre Louis-Philippe madame la duchesse maison Majesté maréchal Marie matin Méhémet-Ali membres du Gouvernement ment Messieurs mille millions ministère Monsieur Morey mort n'avait Napoléon non-seulement Odilon Barrot ouvriers passer Pendant Pépin peuple place politique porte président prince Louis princesse proclamation reine répondit républicain République reste révolution royale royauté s'était sentiments sera seul Sire soldats terrible Thiers tion tribune troupes trouve Tuileries venait Vive voiture
Fréquemment cités
Page 278 - ... qu'il n'en est pas de plus haute, de plus digne des préoccupations d'un gouvernement républicain; qu'il appartient surtout à la France d'étudier ardemment et de résoudre un problème posé aujourd'hui chez toutes les nations industrielles de l'Europe; qu'il faut aviser sans le moindre retard à garantir au peuple les fruits légitimes de son travail...
Page 278 - Considérant que la révolution faite par le peuple doit être faite pour lui : » Qu'il est temps de mettre un terme aux longues et iniques souffrances des travailleurs ; » Que la question du travail est d'une importance suprême ; » Qu'il n'en est pas de plus haute, de plus digne des préoccupations d'un gouvernement républicain ; » Qu'il appartient surtout à la France d'étudier ardemment et de résoudre un problème posé aujourd'hui chez toutes les nations industrielles de l'Europe; »...
Page 278 - Pour montrer quelle importance le gouvernement provisoire de la République attache à la solution de ce grand problème il nomme président de la Commission de gouvernement pour les travailleurs un de ses membres, M. Louis Blanc , et pour viceprésident un autre de ses membres, M. Albert, ouvrier. Des ouvriers seront appelés à faire partie de la commission. Le siège de la commission sera au palais du Luxembourg.
Page 91 - La chambre des pairs connaît des crimes de haute trahison et des attentats à la sûreté de l'État qui seront définis par la loi.
Page 268 - ... la consécration d'une vérité philosophique de plus ; Considérant qu'il n'ya pas de plus sublime principe que l'inviolabilité de la vie humaine; Considérant que, dans les mémorables journées où nous sommes, le Gouvernement provisoire a constaté avec orgueil que pas un cri de vengeance ou de mort n'est sorti de la bouche du peuple ; Déclare : Que dans sa pensée la peine de mort est abolie en matière politique, et qu'il présentera ce vœu à la ratification définitive de l'Assemblée...
Page 62 - Quelles que soient les conséquences qui peuvent résulter pour moi de la « position dans laquelle je me suis mise en remplissant mes devoirs de mère, « je ne vous parlerai jamais de mon intérêt, madame. Mais des braves se sont « compromis pour la cause de mon fils, je ne saurais me refuser à tenter « pour les sauver ce qui peut honorablement se faire. (( Je prie donc ma tante, son bon cœur et sa religion me sont connus, « d'employer tout son crédit pour intéresser en leur faveur. Le...
Page 141 - ... sur le terrain , où nous avions eu le soin de faire arriver des munitions, où nous savions trouver des armes, que j'ai donné le signal, que je leur ai mis les armes à la main, et que je leur ai donné l'ordre de marcher. Ces citoyens ont donc été entraînés', forcés par une violence morale, de suivre cet ordre. Selon moi, ils sont innocents. Je pense que cette déclaration doit avoir quelque valeur auprès de vous ; car pour mon compte, je ne prétends pas en bénéficier.
Page 71 - Pressée par les circonstances et par les mesures ordonnées » par le gouvernement, quoique j'eusse les motifs les plus graves » pour tenir mon mariage secret, je crois devoir à moi-même, » ainsi qu'à mes enfants, de déclarer m'être mariée secrètement » pendant mon séjour en Italie. » De la citadelle de Blaye, ce 22 février 1833.
Page 216 - ... drapeau ni signe extérieur; elle invite les gardes nationaux qui prendront part à la manifestation à se présenter sans armes : il s'agit ici d'une protestation légale et pacifique qui doit être surtout puissante par le nombre et l'attitude ferme et tranquille des citoyens. La commission espère que, dans cette occasion, tout homme présent se considérera comme un...
Page 262 - République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail ; » Il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens ; » Il reconnaît que les ouvriers doivent s'associer entre eux pour jouir du bénéfice de leur travail ; » Le Gouvernement provisoire rend aux ouvriers , auxquels il appartient, le million qui va échoir de la liste civile (1).