Reflexions sur l'histoire des juifs: I. Sur la ruine de leur république & II. Sur le messie, III. Sur l'incrédulité de ce peuple, sur les incrédules en général; pour servir de preuves à la vérité de la religion chrétienne. Avec un abrégé préliminaire de l'histoire des juifs, depuis qu'ils tombérent sous la domination des romains, jusqu'à la ruine entière de leur république et une description abrégé de leur schisme & de leurs sectes. Pour servir d'eclaircissemens à ces réflexions, Volume 2

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Fabri & Barrillot, 1721
 

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Page 242 - Nous ne nous contentons pas de la vie que nous avons en nous et en notre propre être : nous voulons vivre dans l'idée des autres d'une vie imaginaire, et nous nous efforçons pour cela de paraître.
Page 355 - Si ce que je dis se trouve vrai, ajouta-t-il, il est très-bon de le croire ; et si, après ma mort, il ne se trouve pas vrai, j'en aurai toujours tiré cet avantage dans cette vie, que j'aurai été moins sensible aux maux qui l'accompagnent ordinairement.
Page 299 - ... univerfel à tous les maux , un baume qui les adoucit , un charme qui les enchante ? Au lieu que par un confeil de la Providence divine , qui fçait donner aux conditions les plus élevées leur contrepoids , cette grandeur que nous admirons de loin comme quelque chofe...
Page 98 - leur donnant quelque autorité, afin que « l'honneur que vous leUr ferez les porte à » publier vos louanges parmi le peuple. Ils » ont tant de pouvoir sur son esprit qu'ils lui lotira.
Page 316 - Créancier , & celui contre qui elles font faites eft eftimé le Débiteur ; au contraire la perfonne qui promet devient le Débiteur , & celui A qui il eft promis en aquiert le titre de Créancier.
Page 299 - ... de l'homme , touche moins quand on y eft né , ou fe confond elle-même dans fon abondance , & qu'il fe forme au contraire parmi les grandeurs une nouvelle fenfibilité pour les déplaifirs , dont le coup eft d'autant plus rude , qu'on eft moins préparé à le foutenir.
Page 260 - Foi oblige à croire qu'il ya oes" corps ; mais pour l'évidence , il me femble qu'elle n'eft point entiere , & que nous ne fommes point invinciblement portez à croire qu'il y ait quelqu'autrechofe que Dieu & notre efprit.
Page 22 - Ils font obligez de fe laver le matin lorfqu'ils ont couche' avec leurs femmes , ou qu'ils font tombez la nuit dans quelque impureté, & tous les vaifleaux qui peuvent .eftre fouillez , le deviennent patleur attouchement , avant que de s'être lavez.
Page 224 - Conducteur de (Univers qui fe propofât véritablement de nous rendre heureux , qui n'eût rien oublié de ce qui eft néceffaire pour nous conduire...
Page 310 - Hinnorri; les pleurs &c les grincemens de dents des enfans qu'on immoloit à Moloc, en les mettant entre les bras de cette Statue brulante ; Elle parle d'un étang ardent de feu & de foufre &c.

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