Travaux de l'Académie nationale de Reims, Volumes 21 à 22

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Page 279 - Je ne suis pas de ceux qui font grand état des connaissances humaines ; et je confesse néanmoins que je ne puis contempler sans admiration ces merveilleuses découvertes qu'a faites la science pour pénétrer la nature, ni tant de belles inventions que l'art a trouvées pour l'accommoder à notre usage. L'homme a presque changé la face du monde : il a su dompter par l'esprit les animaux qui le surmontaient par la force ; il a su discipliner leur humeur brutale, et contraindre leur liberté indocile.
Page 363 - Depuis les deux grands noms qu'un siècle au siècle annonce, Jamais nom qu'ici-bas toute langue prononce Sur l'aile de la foudre aussi loin ne vola, Jamais d'aucun mortel le pied qu'un souffle efface N'imprima sur la terre une plus forte trace: Et ce pied s'est arrêté là ... Il est là! ... Sous trois pas un enfant le mesure, Son ombre ne rend pas même un léger murmure; Le pied d'un ennemi foule en paix son cercueil.
Page 246 - Description du Musée lapidaire de la ville de Lyon ; Epigraphie antique du département du Rhône, par le docteur A.
Page 173 - II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit et dit : Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute. Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
Page 275 - C'en est fait, en vain je l'appelle Adieu !... Salut sa sœur nouvelle, Salut !... Quels dons chargent ta main ? Quel bien nous apporte ton aile...
Page 234 - Toulouse (Haute-Garonne). des jeux floraux, à Toulouse. Société archéologique du Midi de la France , à Toulouse. Académie des sciences, belles-lettres et arts, à Bordeaux (Gironde).
Page 343 - Distances incommensurables, Abîmes des monts et des cieux, Vos mystères inépuisables Se sont révélés à mes yeux! J'ai roulé dans mes vœux sublimes Plus de vagues que tes abîmes N'en roulent, ô mer en courroux ! Et vous, soleils aux yeux de flamme, Le regard brûlant de mon âme S'est élevé plus haut que vous!
Page 368 - Glisser, en dérobant quelques fleurs au bocage. Mais du vent qui s'élève un souffle inaperçu Badine avec ma voile, et l'enfle à mon insu ; Le flot silencieux sur la liquide plaine Pousse insensiblement la barque qui m'entraîne, L'onde fuit, le jour tombe; et, réveillé trop tard, Je vois le bord lointain fuir devant mon regard.
Page 44 - RAPPORTS à l'Académie impériale de Reims sur l'introduction et la culture du Pin noir d'Autriche dans les plaines stériles de la Champagne ; par M.
Page 79 - ... avait l'état social tout entier en haine ou en mépris. Il en conclut qu'il était appelé à réformer toutes choses; il en vint à se considérer lui-même...

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