Notice sur la vie et les ouvrages de Racine. La Thébaïde, ou, Les frères ennemis. Alexandre. Andromaque. Les plaideuresP. Didot, 1803 |
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Notice sur la vie et les ouvrages de Racine. La Thébaïde, ou, Les frères ... Jean Racine Affichage du livre entier - 1803 |
Expressions et termes fréquents
aime ALEXANDRE Allez Allons amant amitié amour ANDROMAQUE ANTIGONE ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE beau bras Buthrote CÉPHISE charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colere combat COMTESSE connois connoître courage courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre DANDIN déja dessein diadême douleur enfin ennemi ÉPHESTION Épire ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector flatte frere funeste fureur gloire grace Grecs haine haïr Hector Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCASTE juge l'amour l'Épire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame madame de Maintenon main maître malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle pere PETIT JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner rien rois s'il sais sang SCENE seigneur seroit seul sœur soins sort SOUFFLEUR souffrir soupirs TAXILE Thébains Thebes tragédie trépas Troie trône Troyens vainqueur vais venger veut veux victoire vœux Voilà vois vous-même yeux
Fréquemment cités
Page 156 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Page 175 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Page 196 - Différez-le d'un jour; demain vous serez maître.... Vous ne répondez point?... Perfide! je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi.
Page 194 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur , Pour aller dans ses bras rire de ma douleur : Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie.
Page 195 - Et, sans chercher ailleurs des titres empruntés, Ne vous suffit-il pas de ceux que vous portez? Du vieux père d'Hector la valeur abattue Aux pieds de sa famille expirante à sa vue , Tandis que dans son sein votre bras enfoncé Cherche un reste de sang que l'âge avait glacé ; Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée ; De votre propre main Polyxène égorgée , Aux yeux de tous les Grecs indignés contre vous : Que peut-on refuser à ces généreux coups?
Page 179 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Page 253 - Messieurs , quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois , parmi tant d'hommes différents , Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars , quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil , et quand je vois la lune ; Babylouiens.
Page 205 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Page 194 - Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ? Non, non, la perfidie a de quoi...
Page 150 - Je viens voir si l'on peut arracher de ses bras Cet enfant dont la vie alarme tant d'États : Heureux si je pouvais, dans l'ardeur qui me presse...