... fils le Dauphin, et considérant que son avancement dans l'étude des bonnes lettres en fait une partie, nous avons jugé que rien ne lui seroit plus utile pour cela que de lui faciliter la lecture et l'intelligence des anciens auteurs de la langue... Consolationis philosophiæ libros v - Page 9de Boethius - 1695Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Paul-François Dupont - 1854 - 564 pages
...partie, nous avons jugé que rien ne lui seroit plus utile pour cela que de lui faciliter la lecture et l'intelligence des anciens auteurs de la langue latine, par des moyens plus prompts et plus commodes que ceux dont on s'est servi jusques ici ; et nous nous sommes d'autant plus porté... | |
| bp. Antonin Fabre - 1882 - 420 pages
...partie, Nous avons jugé que rien ne lui seroit plus utile pour cela, que de lui faciliter la lecture et l'intelligence des anciens auteurs de la langue latine par des moyens plus prompts et plus commodes, que ceux dont on s'est servi jusques ici, et nous nous sommes d'autant plus porté... | |
| Martine Furno - 2005 - 540 pages
...la bonne éducation » du Dauphin, et qu'il conseillait pour cela « de lui faciliter la lecture et l'intelligence des anciens auteurs de la langue latine par des moyens plus prompts et plus commodes que ceux dont on s'est servi jusques ici ». L'éditeur explicite donc ici la forme... | |
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