Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1 ;Volume 70De Imprimerie de la Société littéraire-typographique., 1789 |
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Expressions et termes fréquents
accufé affez affurer afile ainfi auffi avaient befoin Berlin c'eft c'eſt c'était caufe cauſe chofe Cirey confeils confervé confidération CORRECTION difcours efprit ennemis eſpèce eſt fage faibleffe faint fanatifme favait fciences fecret fefait fentiment ferait fervir fes ouvrages feul fiècle fociété foit font fous fouvent françaiſe Frédéric fuccès fuis fuiv fujet fur les mœurs furtout gens de lettres gloire goût Henriade hiftoire hommes idem j'ai jamais jéfuites jufqu'à jufte juftice l'abbé l'académie l'auteur l'efprit l'Europe l'hiftoire laiffer liberté long-temps Louis XIV madame de Châteauroux madame de Pompadour madame du Châtelet mademoiſelle Maupertuis Maurepas Mérope mettez en note miniftre Monfieur mont Jura n'avait n'eft n'eſt nations paffer paffions penfer perfécution perfonne peuple philofophie phyfique plaifanterie plaifir plufieurs poëfie poëme poëte pouvait préfent prefque préjugés prince Pruffe raiſon reconnaiſſance refpect refte ridicule Ruffie s'eft ſes ſon ſur talens théâtre trag tragédie Voltaire
Fréquemment cités
Page 216 - Je porte le même nom qu'eux : mais n'ayant ni les talens de l'un ni la suffisance de l'autre , je suis encore moins capable d'avoir leurs torts envers vous. Je consens bien de vivre inconnu , mais non déshonoré ; et je croirois l'être si j'avois manqué au respect que vous doivent tous les gens de lettres, et qu'ont pour vous tous ceux qui en méritent euxmêmes.
Page 83 - La nature et l'hymen, voilà les lois premières, Les devoirs, les liens des nations entières : Ces lois viennent des dieux; le reste est des humains.
Page 222 - ... comme dans vos écrits. Tout ce qui vous approche doit apprendre de vous le chemin de la gloire. Vous voyez que je n'aspire pas à nous rétablir dans notre bêtise, quoique je regrette beaucoup, pour ma part, le peu que j'en ai perdu.
Page 340 - Jusque-là, censeur moins sauvage, Souffre l'innocent badinage De la nature et des amours. Peux-tu condamner la tendresse, Toi qui n'en as connu l'ivresse Que dans les bras de tes tambours?
Page 441 - Cour a dénigré tes chants, •*~* Dont Paris a dit des merveilles. Hélas ! les oreilles des grands Sont souvent de grandes oreilles.
Page 317 - J'ai vu tant de gens de lettres pauvres et méprisés, que j'ai conclu dès longtemps que je ne devais pas en augmenter le nombre. Il faut être, en France, enclume ou marteau : j'étais né enclume. Un patrimoine court devient tous les jours plus court, parce que tout augmente de prix à la longue, et que souvent le gouvernement a touché aux rentes et aux espèces.
Page 225 - Mais j'aimerois mieux boire de l'eau de votre fontaine que du lait de vos vaches; et quant aux herbes de votre verger, je crains bien de n'y en trouver d'autres que le lotos, qui n'est pas la pâture des bêtes, et le moly qui empêche les hommes de le devenir.
Page 249 - Dumesnil , avoir le diable au corps , pour arriver au ton que vous voulez me faire prendre. Eh ! vraiment oui , mademoiselle , lui répondit M. de Voltaire, c'est le diable au corps qu'il faut avoir pour exceller dans tous les arts.
Page 245 - ... de Gustave, au second acte. « Point, point de Piron, me dit-il avec une voix tonnante et « terrible; je n'aime pas les mauvais vers; dites-moi tout ce que vous « savez de Racine. »
Page 58 - Mon Henri Quatre et ma Zaïre, Et mon américaine Alzire, Ne m'ont valu jamais un seul regard du roi ; J'eus beaucoup d'ennemis avec très peu de gloire; Les honneurs et les biens pleuvent enfin sur moi. Pour une farce de la foire.