Histoire de la Gréce depuis les temps les plus reculés jusqu'a la fin de la géneration contemporaine d'Anglais par A .-L.de sadous ... seule éd. francaise autorisée par l'auteur, Volume 9a. Lacroix, Verboeckhoven et cie, 1866 |
Expressions et termes fréquents
Alkibiadês alliance alliés sujets ambassadeurs Amphipolis Argiens Argilos Argos Aristophane armée Athé Athènes Athéniens attaque avaient avant J.-C bataille biadês Boôtia Boôtiens Brasidas Chalkidiens chars citoyens commandement confédération Corinthe Corinthiens côté d'Alkibiadês d'Amphipolis d'Argos d'Athènes Dêlion Demosthenês dessein docteur Arnold Dr Arnold Eiôn Éleiens ennemis envoyé éphores fête Olympique forces fût général Grèce guerre héraut hommes hoplites Ilotes Klearidas Kleôn l'alliance l'attaque Lacédæ Lacédæmone Lacédæmoniens Lepreon Long Mur Mantineia Mantineiens Megara Mégariens Mendê ment moniens n'avait niens Nikias Nisæa non-seulement Olympia paix Panakton Péloponèse péloponésienne Perdikkas Periklês Platon Pleistoanax Plutarque poëte politique Poppo position prisonniers probablement Pylos qu'Athènes réel révolte sentiment seulement Skiônê Sokratês soldats sophistes Sparte Spartiates Sphakteria Strymôn territoire Thessalia Thrace Thucyd Thucydide tion trêve trirèmes troupes Xénophon ἂν αὐτοῖς γὰρ δὲ διὰ εἶναι ἐκ ἐν ἐπὶ ἐς καὶ κατὰ μὲν οἱ οὐ οὐκ πρὸς τὰ τὰς τε τὴν τῆς τὸ τοῖς τὸν τοῦ τοὺς τῷ τῶν ὡς
Fréquemment cités
Page 241 - ... simultates nimio plures et exercuerunt eum et ipse exercuit eas; nee facile dixeris, utrum magis presserit eum nobilitas, an ille agitaverit nobilitatem. asperi procul dubio animi et linguae acerbae et immodice liberae fuit, sed invicti a cupiditatibus animi, rigidae innocentiae, contemptor gratiae et divitiarum.
Page 238 - Kleôn coupable, qu'ils se contentent d'Aristophane comme témoin contre lui, bien que nul autre homme public, d'aucune époque ni d'aucune nation, n'ait jamais été condamné sur une telle preuve. Personne ne songe à juger sir Robert Walpole, ni M. Fox, ni Mirabeau, d'après les nombreux pamphlets mis en circulation contre eux. Personne ne prendra Pîtncli comme mesure d'un homme d'État anglais, ni le Charivari, d'un homme d'Etat français.
Page 220 - Les palissades, ainsi qu'on l'a déjà observé, environnaient tout le sommet de la colline, tant du côté de la mer que du côté de la terre...
Page 238 - ... témoin contre lui, bien que nul autre homme public, d'aucune époque ni d'aucune nation, n'ait jamais été condamné sur une telle preuve. Personne ne songe à juger sir Robert Walpole, ni M. Fox, ni Mirabeau, d'après les nombreux pamphlets mis en circulation contre eux. Personne ne prendra Punch comme mesure d'un homme d'État anglais, ni le Charivari, d'un homme d'Etat français. L'incomparable mérite comique des Chevaliers d'Aristophane [n'est qu'une raison de plus de se défier de la...
Page 10 - Nikias, et des hommes en général de son rang et de sa fortune, soutenus par ces clubs et leur prêtant à leur tour de l'appui, composaient ce qu'on peut appeler les ministres, ou fonctionnaires individuels exécutifs d'Athènes : hommes qui agissaient, donnaient des ordres pour des actes déterminés...
Page 10 - ... pour la parole aussi bien que pour l'action, — étaient maintenant séparés, et étaient échus, bien que tous deux à un degré très-inférieur, l'un à Nikias, l'autre à Kleôn.
Page 11 - Mais bien qu'ij fût l'orateur le plus puissant dans l'assemblée publique, il n'était pas pour cela le personnage le plus influent de la démocratie. Dans le fait, sa puissance de parole ressortait d'une...
Page 238 - Kleôn ait pu se maintenir après cet humiliant éclat, ce n'est pas une faible preuve de sa vigueur et de sa capacité intellectuelles. Son influence ne semble pas en avoir été diminuée, — du moins non pas d'une manière permanente.
Page 9 - Ces clubs ou hétseries doivent avoir joué un rôle important dans le jeu pratique de la politique athénienne, et il est fort à regretter que nous ne possédions pas de détails à leur sujet.
Page 208 - Kleôn de l'autre : le premier, parce qu'il était en plein succès et illustré par la guerre; le second, parce qu'il pensait que, si la paix était conclue, sa politique malhonnête serait découverte, et que ses accusations dirigées contre les autres seraient moins facilement, crues.