Friedrich der Grosse: Eine lebensgeschichte, Volume 3

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Fréquemment cités

Page 227 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 351 - De la litterature allemande; des defauts qu'on peut lui reprocher; quelles en sont les causes; et par quels moyens on peut les corriger.
Page 419 - Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu ! de ton moulin c'est bien être entêté ; Je suis bon de vouloir t'engager à le vendre : Sais-tu que sans payer je pourrais bien le prendre ? Je suis le maître. — Vous !...de prendre mon moulin? Oui, si nous n'avions pas des juges à Berlin.
Page 107 - Mémoires pour servir à l'histoire des quatre derniers souverains de la maison de Brandebourg royale de Prusse, mais ils ne parurcnl qu'en 1791.
Page 139 - Qu'un peu de vîl métal vous comblera de gloire ; Et que de vos aïeux les insignes vertus Honorent votre nom depuis qu'ils ne sont plus? Votre esprit est imbu des préjugés vulgaires, Vos parchemins usés ne sont que des chimères ; Le mérite est en nous, non pas dans ces faux biens Que le hasard reclame et reprend comme siens.
Page 354 - Thomasius rendirent les plus grands services à l'esprit humain : ils enseignèrent les routes par lesquelles la raison doit se conduire pour parvenir à la vérité; ils combattirent les préjugés de toute espèce; ils en appelèrent, dans tous leurs ouvrages, à l'analogie et à l'expérience, qui sont les deux béquilles avec lesquelles nous nous traînons dans la carrière du raisonnement; et ils firent nombre de disciples.
Page 321 - Je le porterai sur moi sans cesse, et la nuit je le mettrai au chevet de mon lit, à l'endroit où les dévots placent leur crucifix et leur bénitier. Je conserve précieusement le portrait que VM voulut bien me donner il ya près de douze ans, et qui la représente à la tête de ses armées ; celui que je viens de recevoir, Sire, vous représente dans votre cabinet, comme le philosophe le plus aimable et de la physionomie la plus auguste et la plus noble: j'admirerai toujours le premier, et j'adorerai...
Page 171 - Aussi froid au sujet de dispute et de haine, Au fanatisme affreux dont leur mal se gangrène , Qu'exempt des passions dont la frivolité Entraîne à décider avec témérité , J'ai consacré mes jours à la philosophie. J'admets tous les plaisirs innocens de la vie, Et sachant que dans peu ma course va finir , Je jouis du présent sans peur de l'avenir. Quel est aprèt là mort l'épouvantail à craindre? Seroit-ce ces enfers qu'Ovide eut l'art de peindre...
Page 419 - Les rois mal aisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric un moment par l'humeur emporté : « Pardieu ! de ton moulin c'est bien être entêté ! » Je suis bon de vouloir t'engager à le vendre ! » Sais-tu que, sans payer, je pourrais bien le prendre ? » Je suis le maître. — Vous? de prendre mon moulin? » Oui , si nous n'avions pas des juges à Berlin.
Page 343 - D'un bavardage insupportable Veut cacher son esprit aussi sot qu'ignorant. Il adore la bagatelle ; A cette idole il est fidèle ^ Mais d'ailleurs toujours inconstant. Non, de ce peuple, ami, vous n'êtes plus du nombre; De cette fange impure on vous vit percer l'ombre, Et le ciel des enfers ne peut être plus loin : Vous pensez , ils ne pensent point.

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