Histoire de la province de Sancta-Cruz: que nous nommons ordinairement le BrésilA. Bertrand, 1837 - 159 pages |
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Histoire de la province de Sancta-Cruz: que nous nommons ordinairement le Brésil Pero de Magalhães Gandavo Affichage du livre entier - 1837 |
Expressions et termes fréquents
Aimores Amazones ambre arbres arrive Bahia de Todos-os-Sanctos baie baleines bois bras cap de Bonne-Espérance capitainerie de Sam-Vicente capitaines ceux-ci chair CHAPITRE choses colonie compagnie de Jésus conquise corps côte coup couverte d'oiseaux de-Janeiro degrés de latitude doctrine chrétienne ennemis esclaves espèce fauves femme flèches fleuve font forêts Francisco d'Acunha Francisco Pereira Coutinho fruit gibier gouverneur grandeur habitants hommes îles j'ai parlé Joam jours jusqu'à l'ai l'Amérique l'in lingoa LISBONNE MAGALHANES DE GANDAVO maison Malacca mandioca mangent manger manière ment meux monde monstre mort nomme nomment oiseaux Os-Ilheos paraît parlé plus haut pèce Pedralvarez pères Pero Lopez Pérou perroquets personne plantes poissons Porto-Seguro Portugais portugaises Portugal province de Sancta-Cruz quantité ques-uns queue Quito ressemble ressemblent rivière rôtir Sam-Francisco Sancto seul soixante lieues sorte Tapuyas terre tête tigre tion très-grands très-savoureux trouve tuent tuer Vasconcelos vengeance venger venimeux vent village vivent vont Yves d'Évreux
Fréquemment cités
Page 154 - ... de très-longues rues habitées par des gens dont l'unique occupation était de travailler l'or et les pierreries. Ils y passèrent quelques jours, et les habitants leur voyant des outils de fer qu'ils possédaient, leur demandèrent d'où ils les avaient eus et comment ils étaient venus entre leurs mains; nos Indiens répondirent qu'ils les tenaient d'hommes harbus, qui habitaient la côte orientale, leur donnant encore d'autres indications pour désigner les Portugais.
Page 154 - La fatigue et la misère en firent périr un grand nombre, et ceux qui survécurent arrivèrent dans un pays où il y avait de grands villages, une population nombreuse...
Page 112 - , les écrivains contemporains s'accordent à vanter la douceur de cet idiome. D'après Montaigne (Des Cannibales), « c'est un langage doux, et qui a le son agréable retirant aux terminaisons grecques ». D'après Gandavo (Histoire de la province de Sancta-Cruz, p. 109), « elle est très-douce et facile à apprendre pour toutes les nations ; il ya des mots dont les hommes seuls se servent, et d'autres que les femmes seules emploient ». Le père...
Page 112 - ... avant il ya d'autres Indiens que nous ne connaissons pas si bien, et qui parlent une langue tout à-- fait différente. Celle en usage le long de la côte est très-douce et facile à apprendre pour toutes les nations. H ya des mots dont les hommes seuls se servent , et d'autres que les femmes seules emploient. Il leur manque trois lettres , savoir : l'F , l'L etl'R, chose étonnante, car ils n'ont en effet ni Foi, ni Loi, ni Roi, et vivent ainsi sans ordre, ni poids ni mesure, et sans compter.
Page 6 - Douro-E.-Miubo, où il se maria et employa le reste de sa vie à la direction d'une école qu'il avait fondée. Son histoire du Brésil , dit M. Ternaux, est certainement un des ouvrages les plus remarquables qui aient paru dans le XVIe siècle, sur la description des pays éloignés: le style en est simple, mérite bien rare chez les écrivains de sa nation. On peut consulter au sujet de cet historien, qui avait conservé les bonnes...
Page 5 - Règles qui enseignent à écrire corrtcletiifiit /a langue portugaise, avec un dialogue qui contient la défense de la même langue, Lisbonne, 1590, in-4°; ibid., 1562, in-4°. Sous la forme d'un dialogue, l'auteur discute les avantages particuliers aux langues espagnole et portugaise, et la question de savoir laquelle des deux ressemble davantage au latin. E — s.
Page 3 - DE MAGALHANESDE GANDAVO, auteur de l'histoire du Brésil dont nous publions aujourd'hui la traduction , naquit à Braga vers le milieu du XVI
Page 157 - Outre l'assurance que nous tirons de ce rapport, beaucoup d'Indiens affirment qu'il ya une grande quantité d'or dans l'intérieur. On peut les croire en cela, car tous, et dans les différentes provinces, sont d'accord sur ce point, et il est...
Page 36 - Les palissades, ainsi qu'on l'a déjà observé, environnaient tout le sommet de la colline, tant du côté de la mer que du côté de la terre...