 | 1784 - 750 pages
...qu'elles avoient d'aflfujécir toute la Grèce ; de forte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts, que...chacune fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté, elles trouvoicnt l'Empire de ces deux Républiques trop fâcheux. Celui de Lacédémone étoit dur. On remarquoit... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1696 - 476 pages
...qu'elles avoient d'aflnjetir toute la Grèce 5 de forte qu'elles étoicnt toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts » que par l'incompatibilité de leurs humeurs. • Lcsvilles-Greques ne vonloientlàdominjtionni de l'une ni de l'autre , car outre que chacun fouhaitoit... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet (évêque.) - 1702 - 688 pages
...deficin qu'elles avoienc d'allujetir toute la Grèce; deforte qu'elles étoient roûjours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts >...par l'incompatibilité de leurs humeurs. Les villes Greques ne vouloient la domination ni de l'une ni de l'autre , car ourre que chacun fou. haitoit pouvoir... | |
 | Charles Rollin - 1732 - 636 pages
...Gréce ; de forte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leur» intérêts , que par l'incompatibilité de leurs humeurs....fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté , elles trouvoient fempire de ces deux Républiques trop facheux. Celui de Lacédémone étoit dur. On remarquoit dans... | |
 | Louis Chasot de Nantigny - 1736 - 812 pages
...contrari été de leur s intérêts, que par l'incompatibilité de leurs humeurs.. Les villes Greques ne vouloient la domination , ni de l'une ni de l'autre ; car outre que chacun fouhaitoit pouvoir eonferver fa liberté , elles trouvaient l'Empire de ces deux Républiques... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1748 - 588 pages
...qu'elles avoient d'aflujettir toute la Grèce ; de forte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts ,...domination ni de l'une ni de l'autre : car outre que chacun fouhaitoit pouvoir conferverfa liberté, elles .trou voient l'Empire de ces deux Républiques... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1772 - 574 pages
...defTein qu'elles avoientd'afTujettir toute la Grèce; de forte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts ,...humeurs. Les Villes Grecques ne vouloient la domination de l'une ni de l'autre : car outre «lue chacun fouhaitoit pouvoir conferver là liberté , elles trouvoient... | |
 | François Sabbathier - 1777 - 570 pages
...qu'elles avoient d'afltijettir toute la Grèce, de forte qu'cl'es étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts , que par l'incompatibilité de leurs humeurs. 33 Les villes Grecques ne vouloient la domination ni de l'une ni de l'autre ; car , outre que chacune... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1784 - 546 pages
...qu'elles avoient d'aflujettir toute la Grèce ;, de forte qu'el* les étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts, que...trouvoient l'Empire de ces deux Républiques trop fâcheux. Celui de Lacédémone étoit dur. On re- ^f-à p0\ v^ marqtioit dans fbn Peuple je ne fais quoi de... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1794 - 492 pages
...qu'elles avoient d'affujetlir toute la Grèce; de forte qu'elles étoienr toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts ,...humeurs. Les villes Grecques ne vouloient la domination de l'une ni de l'autre ; car outie que chacun fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté, elles trouvoient... | |
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Grèce , de sorte qu'elles étaient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts que par l'incompatibilité de leurs humeurs. Les villes grecques ne voulaient la domination ni de l'une ni de l'autre : car outre que chacune... 
