Répertoire du Théâtre français ...J. Didot ainé, 1824 |
Autres éditions - Tout afficher
Répertoire du Théâtre français ...: composé des tragédies ..., Volume 28 Affichage du livre entier - 1822 |
Expressions et termes fréquents
ACTE Adieu AGÉNOR aime Allez amant amour ANDRONIC appas ARSINOÉ ASPAR assez auroit avez avoit BABET beau BEAUGÉNIE belle BOISLUISANT BRIGANDEAU CALVILLE CÉCILE chagrin CHAMPAGNE charmes chose ciel CLÉON CLÉONICE Clitandre cœur connois courroux crainte CRÉSUS CRISPIN crois déja desirs dessein diable dire DORANTE DORINE DOROTHÉE DUBOIS ÉLISE époux ÉRASTE ÉSOPE est-il êtes étoit EUDOXE EUPHROSINE EUTROPE fable FÉLIANTE femme fille GÉRALDE grace GRAND-SIMON GRIFFET GUILLEMOT HAUTEROCHE HILAIRE homme IPHICRATE IPHIS IRÈNE j'ai j'aurois j'en jamais JAQUEMIN jour JULIE JUSTINE l'ame L'EMPEREUR l'hymen l'interrompant LAÏS LÉARQUE LÉONIDE LISETTE LISIDOR m'en madame maître malheur MARCÈNE MARIN MARTIAN Mercure MERLIN mieux monsieur Mirobolan MORILLE mort n'en NICODÈME ORIANE ORONTE parler paroît père PERRETTE PIERROT pilules PIRANTE plaisir plaît pleurs puis-je qu'un raison Rhodope rien ROSETTE s'il sais SCÈNE VII seigneur seroit seul soins sort TIMANTE TIRRÈNE TRASYBULE vais vertu veux voilà vois voudrois voulez-vous yeux zéle
Fréquemment cités
Page 86 - Mordié! je me bals l'œil du Mercure et de toi Pour vous faire dépit tant à toi qu'à ton maître, Je déclare à tous deux que je n'y veux pas être: Plus de mille soldats en auraient acheté Pour voir en quel endroit la Rissole eût été : C'était argent comptant; j'en avais leur parole. Adieu, pays. C'est moi qu'on nomme la Rissole.
Page 19 - Greffez-moi sur quelque vieille tige. Cherchez quelque maison dont le nom soit péri : Ajoutez une branche à quelque arbre pourri. Enfin, pour m'obliger, inventez quelque fable ; Et ce qui n'est pas vrai rendez-le vraisemblable. Un homme comme vous doit-il être en défaut?
Page 275 - Calmez votre courroux, étouffez vos reproches. Je commence à sentir les fatales approches; Voilà le prompt effet du breuvage mortel Qui consomme l'horreur de mon destin cruel... Vos yeux en sont témoins, avec quelle industrie Les traîtres ont voulu me cacher leur furie! Mais tous leurs soins n'ont pu m'abuser un moment ; Et ma main et ma bouche ont pris avidement Le vase criminel et la liqueur funeste Qui de mes tristes jours va consommer le reste.
Page 184 - D'une vanité sotte on cherche à se gonfler. La femme d'un sergent ne sera pas honteuse De porter des habits comme une procureuse : Celle du procureur, pour avoir plus d'éclat, Veut égaler au moins celle de l'avocat: Celle de l'avocat est assez téméraire Pour aller du même air que va la conseillère : Celle du conseiller, par la même raison, Avec la présidente entre en comparaison : Celle du président...
Page 78 - Que l'âge et la raison sont pour moi contre vous, Et que votre sottise excite mon courroux. Vous croyez que partout votre mérite brille. ÉLISE . Ah ! que par le babil vous êtes encor fille, Ma sœur ! et que cet art que vous citez toujours A votre pétulance offre un faible secours.
Page 36 - J'aime, quand je le puis, à conclure une affaire. Les fermiers généraux, voyant ma bonne foi, Me pourront confier quelque meilleur emploi. C'est ce qu'avec grand art, comme par bonté pure, II faut insinuer dans le premier Mercure.
Page 183 - Je perdis les deux tiers quand je les fis revendre. Enfin pour nous tenir toujours sur le bon bout, Je n'ai rien ménagé, j'ai presque vendu tout; Si bien que...
Page 20 - Croyez-vous qu'à la cour chacun ait son vrai nom? De tant de grands seigneurs dont le mérite brille, Combien ont abjuré le nom de leur famille? Si les morts revenaient ou d'en haut ou d'en bas, Les pères et les fils ne se connaîtraient pas.
Page 208 - Pour nous farmer la bouche, il nous dit qu'il le veut. Nos meilleures raisons sont pour lui des vétilles: Plus je trouvons de trous, plus il a de chevilles; Et, comme il est le maître, et qu'il a du crédit, D'une seule menace il nous abasourdit.
Page 101 - Qui de bas lieu lire mon être ; Et je n'ose faire connaître Ni qui je suis ni d'où je sors. Quand on m'ôte la liberté, Pour m'échapper j'use d'adresse ; Et deviens femelle traîtresse, De mâle que j'aurais été.