Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1 ;Volume 51De Imprimerie de la Société littéraire-typographique., 1785 |
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Expressions et termes fréquents
abfolument acte affez aime ainfi amant amour Ariane auffi barbariſme beau Bérénice c'eft c'eſt chofe choſe Cinna cœur comédie comique comte d'Effex confeil crime défaut deffein deftin difcours Dircé doit eft-il Eryxe eſpèce eſt expreffion expreffions fang fans favoir fcène fcène eft feconde fecret fefait femble femme fens fentimens fentiment ferait fervir feul fituation Flaminius foit folécifme fon fils font fouffrir foupirs fous fouvent fpectateur froide ftyle fublime fuccès fuis fuivante fujet furtout Héraclius héros homme intéreffante j'ai jamais jufqu'à jufte l'amour l'efprit laiffer Laodice Léontine Madame Maffiniffe Martian n'eft n'eſt néceffaire Nicomède noble obfcur Oedipe paffe paffion parler penfées perfonnage perfonne perſonnage Pertharite Phèdre Phocas phraſe pièce Pierre Corneille poëfie Pompée prefque prince princeffe Prufias puiffe Pulchérie qu'un Quinault Racine raifon refte reine ridicule rien s'eft ſcène SCENE PREMIERE Seigneur Sertorius ſes ſon Sophonisbe ſtyle théâtre Théfée Thomas Corneille tragédie tragique veut dire Viriate
Fréquemment cités
Page 353 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Page 226 - Le public de tous les temps et de toutes les nations, toujours juste à la longue , ne juge les grands hommes que par leurs bons ouvrages, et non par ce qu'ils ont fait de médiocre ou de mauvais. Les belles scènes...
Page 189 - Son âme, s'élevant au delà de ses yeux, Avait au Créateur uni la créature; Et marchant sur la terre elle était dans les cieux. Les pauvres bien mieux qu'elle ont senti sa richesse: L'humilité, la peine étaient son allégresse ; Et son dernier soupir fut un soupir d'amour. Passant, qu'à son exemple un beau feu te transporte, Et loin de la pleurer d'avoir perdu le jour, Crois qu'on ne meurt jamais quand on meurt de la sorte.
Page 265 - Qu'usurperaient sans moi l'injustice et l'audace, Afin que, Sylla mort, ce dangereux pouvoir Ne tombe qu'en des mains qui sachent leur devoir. Enfin je sais mon but, et vous savez le vôtre.
Page 377 - J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons; J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie : Ah ! qu'il eût mieux valu, plus sage et plus heureux, Et repoussant les traits d'un amour dangereux, Ne pas laisser remplir d'ardeurs empoisonnées Un cœur déjà glacé par le froid des années ! De ce trouble fatal par où dois-je sortir?
Page 184 - ... de leurs tragédies chez les Grecs. Il ne faut pas croire qu'un meurtre commis dans la rue Tiquetonne ou dans la rue Barbette , que des intrigues politiques de quelques bourgeois de Paris , qu'un prévôt des marchands nommé Marcel, que les sieurs Aubert et Fauconnau, puissent jamais remplacer les héros de l'antiquité.
Page 84 - De quoi parle à mon cœur ton murmure imparfait? Ne me dis rien du tout, ou parle tout à fait.
Page 292 - Au reste, la douleur ne vous a point éteint Ni la clarté des yeux, ni la beauté du teint : Vos pleurs vous ont lavée; et vous êtes de celles Qu'un air triste et dolent rend encore plus belles.
Page 379 - Venez , Haine implacable ; Sortez du gouffre épouvantable Où vous faites régner une éternelle horreur : Sauvez-moi de l'Amour , rien n'est si redoutable ; Rendez-moi mon courroux , rendez-moi ma fureur , Contre un ennemi trop aimable. Il ya même de la morale dans cet opéra. La Haine , qu...
Page 192 - Choisis-moi seulement quelque nom dans l'histoire Pour qui tu veuilles place au temple de la Gloire, Quelque nom favori qu'il te plaise arracher A la nuit de la tombe, aux cendres du bûcher.